Souchon signed his first contract in 1971, but had no success until he began to collaborate with composer/arranger Laurent Voulzy ; they would write together, but each released albums under his own name. Souchon's first hit was "J'ai 10 ans" (1974), from the album of the same name. Souchon's biggest hit was probably "Foule Sentimentale" from 1995's C'est Deja ca. His recent album is from 2005, called La Vie Theodore which features his song "Et si en plus, y'a personne" [What if, even more, there is no one], a song condemning religious intolerance.
He wrote the theme for François Truffaut's 1979 film Love on the Run (L'amour en fuite).
Somerset Maugham
Alain Souchon Lyrics
Jump to: Overall Meaning ↴ Line by Line Meaning ↴
Dans notre jungle, le calme plat
Il a déboulé dans l'soir
En disant, "Mes malles
Sont encore au port"
Moi j'étais largué, classé
Elle était bouche bée
Et lui, c'était Robert Taylor
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Ils sont faits pour deux, ces bambous
Trois là-d'dans, ça va plus du tout
Il avait gagné la cup
Fumé navy cut
Claqué les tirelires
Quand elle enlevait sa main de ma main
Ses yeux de mes yeux
Ça me faisait souffrir
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Je voudrais qu'il s'en aille, de quoi j'ai l'air
Avec mes détails, mes haltères
Il portait des lions sur le dos
Pour elle comme cadeau
Ça salissait tout
Moi je me sentais vieillot, fidèle
Propriétaire d'elle
Malheureux comme tout
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Les capitaines beaux, lâchez-moi
Les femmes sont sensibles à tout ça
Laissez-nous tranquilles baskets
Chocolat noisette
Sur notre canapé
Allez, Somerset, ailleurs
Casser les autres cœurs
Des autres fiancés
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
The lyrics to Alain Souchon's song "Somerset Maugham" tell the story of a man who enters into the lives of the singer and his partner, disrupting their peaceful and monotonous existence. The man, who is described as resembling Robert Taylor, arrives in the evening announcing that his belongings are still at the port. The singer is taken aback and feels out of place, while his partner is speechless in the presence of the new arrival. The lyrics refer to the stories of British writer Somerset Maugham, who often wrote about the lives of wealthy expatriates in exotic locations.
The man, who appears to be wealthy and successful, has won a cup, smokes navy cut cigarettes, and has broken many piggy banks. Meanwhile, the singer struggles with feelings of inadequacy, as he watches his partner's admiration of the new arrival grow. He feels "old-fashioned" and unhappy. Throughout the song, the singer refers to his own life as a "jungle," highlighting the stark contrast between his simple existence and the extravagant lifestyle of the stranger.
Line by Line Meaning
On somnolait chez nous, comme ça
We were lounging around at home, just like that
Dans notre jungle, le calme plat
In our little world, it was always calm
Il a déboulé dans l´soir
He came crashing into our lives in the evening
En disant, "Mes malles Sont encore au port"
Saying, "My luggage is still at the port"
Moi j´étais largué, classé
I was out of it, forgotten
Elle était bouche bée
She was speechless
Et lui, c´était Robert Taylor
And he, he was like Robert Taylor
Ils sont faits pour deux, ces bambous
They're meant for two, these bamboo sticks
Trois là-d´dans, ça va plus du tout
Three's a crowd, it just doesn't work
Il avait gagné la cup
He had won the cup
Fumé navy cut
Smoking Navy Cut cigarettes
Claqué les tirelires
Breaking open the piggy banks
Quand elle enlevait sa main de ma main
When she removed her hand from mine
Ses yeux de mes yeux
Her eyes looked away from mine
Ça me faisait souffrir
It hurt me deeply
Je voudrais qu´il s´en aille, de quoi j´ai l´air
I wish he would leave, how do I look?
Avec mes détails, mes haltères
With all my little quirks and idiosyncrasies
Il portait des lions sur le dos
He carried lions on his back
Pour elle comme cadeau
As a gift for her
Ça salissait tout
It made a mess of everything
Moi je me sentais vieillot, fidèle
I felt old-fashioned, faithful
Propriétaire d´elle
Her owner
Malheureux comme tout
Miserable as can be
Les capitaines beaux, lâchez-moi
Dashing captains, leave me alone
Les femmes sont sensibles à tout ça
Women are sensitive to all that
Laissez-nous tranquilles baskets
Leave us alone in our sneakers
Chocolat noisette
Hazelnut chocolate
Sur notre canapé
On our couch
Allez, Somerset, ailleurs
Go away, Somerset, elsewhere
Casser les autres cœurs
Breaking the hearts of others
Des autres fiancés
Of other fiancés
Lyrics © O/B/O APRA AMCOS
Written by: Alain Souchon, Laurent Voulzy
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
@yves5991
On somnolait chez nous, comme ça
Dans notre jungle, le calme plat
Il a déboulé dans l'soir
En disant, "Mes malles
Sont encore au port"
Moi j'étais largué, classé
Elle était bouche bée
Et lui, c'était Robert Taylor
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Ils sont faits pour deux, ces bambous
Trois là-d'dans, ça va plus du tout
Il avait gagné la cup
Fumé navy cut
Claqué les tirelires
Quand elle enlevait sa main de ma main
Ses yeux de mes yeux
Ça me faisait souffrir
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Je voudrais qu'il s'en aille, de quoi j'ai l'air
Avec mes détails, mes haltères
Il portait des lions sur le dos
Pour elle comme cadeau
Ça salissait tout
Moi je me sentais vieillot, fidèle
Propriétaire d'elle
Malheureux comme tout
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Les capitaines beaux, lâchez-moi
Les femmes sont sensibles à tout ça
Laissez-nous tranquilles baskets
Chocolat noisette
Sur notre canapé
Allez, Somerset, ailleurs
Casser les autres cœurs
Des autres fiancés
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
@alaincubeddu4490
c
On somnolait chez nous, comme ça
Dans notre jungle, le calme plat
Il a déboulé dans l'soir
En disant: "Mes malles
Sont encore au port"
Moi j'étais largué, classé
Elle était bouche bée
Et lui, c'était Robert Taylor
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Ils sont faits pour deux, ces bambous
Trois là-d'dans, ça va plus du tout
Il avait gagné la cup
Fumé navy cut
Claqué les tirelires
Quand elle enlevait sa main de ma main
Ses yeux de mes yeux
Ça me faisait souffrir
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Je voudrais qu'il s'en aille, de quoi j'ai l'air
Avec mes détails, mes haltères
Il portait des lions sur le dos
Pour elle comme cadeau
Ça salissait tout
Moi je me sentais vieillot, fidèle
Propriétaire d'elle
Malheureux comme tout
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Les capitaines beaux, lâchez-moi
Les femmes sont sensibles à tout ça
Laissez-nous tranquilles baskets
Chocolat noisette
Sur notre canapé
Allez, Somerset, ailleurs
Casser les autres coeurs
Des autres fiancés
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Comme dans ces nouvelles pour dames
@bouliboulanger257
Cette chanson est un bijou.
Mr souchon est un poète qui manie la langue française et les emotions avec un talent unique.
Un pur moment de nostalgie.
@philippecontart7765
Grand mélodiste et grand poète . Une rareté à notre époque ! Super artiste Mr Souchon !!👍👍👍👍
@dariogiannattasio8658
Paroles et musique toujours proche d'une certaine perfection. Toujours ces trouvailles au niveau des textes... Un très beau moment même si ce n'est pas forcément ce que l'on a envie de vivre... Mais c'est tellement bien chanté déclamé qu'on y est et qu'on y prend du plaisir. Merci la Souche.
@obleygnabry3698
C'est l'une des plus belles chansons d'Alain Souchon.
@danielthomas1807
Quelle oeuvre,chapeau bas Mr Souchon!!Je ne me lasserai jamais de l'écouter,elle apaise,à déguster sans modération...
@yves5991
On somnolait chez nous, comme ça
Dans notre jungle, le calme plat
Il a déboulé dans l'soir
En disant, "Mes malles
Sont encore au port"
Moi j'étais largué, classé
Elle était bouche bée
Et lui, c'était Robert Taylor
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Ils sont faits pour deux, ces bambous
Trois là-d'dans, ça va plus du tout
Il avait gagné la cup
Fumé navy cut
Claqué les tirelires
Quand elle enlevait sa main de ma main
Ses yeux de mes yeux
Ça me faisait souffrir
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Je voudrais qu'il s'en aille, de quoi j'ai l'air
Avec mes détails, mes haltères
Il portait des lions sur le dos
Pour elle comme cadeau
Ça salissait tout
Moi je me sentais vieillot, fidèle
Propriétaire d'elle
Malheureux comme tout
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Les capitaines beaux, lâchez-moi
Les femmes sont sensibles à tout ça
Laissez-nous tranquilles baskets
Chocolat noisette
Sur notre canapé
Allez, Somerset, ailleurs
Casser les autres cœurs
Des autres fiancés
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham
@jfpary7336
Souchon a écrit quelques-unes des plus belles chansons du répertoire francophone, éternel.
@elenamkheidze4783
👌
@laurent7368
Sauf que celle-ci a été écrite par son pote Laurent Voulzy... ; )
@michelesanchez6586
Un véritable chef d'oeuvre cette chanson 😘