Animal
Francis Cabrel Lyrics
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T'as changé tes manières, tu prends des allures mondaines, tu racontes seulement
Tes voyages en première
En première
Tu veux qu'elle t'estime, tu sors tes plus belles lectures
T'as vu des centaines de films, t'expliques d'où viennent ces tapis sur le mur
Sur le mur
Et y a une heure où va retentir, le signal
Tu parles de décalages horaires
De plages blanches à l'autre bout de la terre
De la terre
Pourquoi pas Venise quand les fontaines s'allument
En dessous des lumières grises on pourrait danser sur le bord des lagunes
Des lagunes
Et y a une heure où va retentir, le signal
Un moment où tu vas t'sentir
Animal, animal, animal, animal, animal
Celui qui attend sous le déluge, qui couche contre la porte
Celui qui crie, qui hurle jusqu'à ce que tu sortes
Qui t'aime dans la voiture, qui court quand tu appelles
Qui pleure, qui pleure, qui pleure "mon Dieu que les femmes sont belles!"
"Oh, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu"
"Oh, que les femmes sont"
Tu voudrais qu'elle danse, qu'il y ait des fleurs partout par terre
Et dans le grand silence tu te sens capable de marcher sur la mer
Sur la mer
Tu voudrais qu'elle t'aime, tu sors tes plus belles lectures
Et t'en oublies certaines comme ces filles à plat posées sur tes murs
Sur tes murs
Et y a une heure où va retentir, le signal
Un moment où tu vas t'sentir
Animal, animal, animal, animal, animal
Animal
Le signal
Le signal
Animal
The song "Animal" by Francis Cabrel is about a man who is trying to impress a woman by changing his behavior and pretending to have refined tastes. He wants her to love him and dream with him, but he is only focused on his own desires and wants her to fit into his idealized fantasies. The chorus of the song warns that there will come a time when he will hear a signal and become an animal, implying that his true nature will eventually reveal itself and he will lose control.
The first two stanzas describe the man's behavior, as he tries to make himself appear more cultured and sophisticated than he really is. He talks about his travels in first class, his knowledge of literature and art, and his interest in theater and cinema. He wants the woman to admire him and see him as someone with great taste and style. However, the chorus warns that his efforts will eventually be in vain, as he will revert to his primal instincts and become an animal.
The third verse introduces the idea that the man is willing to do anything to win the woman's affection. He declares his love for her publicly and passionately, and is willing to come running whenever she calls for him. He describes women as beautiful and is enchanted by their presence. However, the chorus suggests that his desires will eventually overpower him and he will become an animal, unable to control his desires.
Overall, the song is a cautionary tale about the dangers of trying to fit into an idealized version of oneself in order to impress others. It suggests that true romantic connections come from honesty and vulnerability, not from projecting an image of perfection.
Line by Line Meaning
Quieres que te quiera, tú cambias de modales
You want me to love you, but you change your manners
Te haces el fino sólo cuentas tus viajes en primera, mmm en primera
You act sophisticated, but only talk about your first-class trips
Quieres que te estime, presumes de lecturas
You want me to respect you, but boast about your readings
De teatro, de cine, comentas los cuadros del salón, mmm del salon
Talking about theater, cinema, and commenting on room paintings
Llegará un momento en que sonará la señal
A moment will come when the signal will sound
Quieres que ella sueñe haces cursiladas
You want her to dream, so you say cheesy things
Hablas de cruceros en el mar violeta donde se ahoga el sol, mmm el sol
You talk about cruises in the violet sea where the sun drowns
Acaso Venecia cuando las fuentes iluminen
Perhaps Venice when the fountains light up
Entre las palomas grises podríamos bailar junto al gran canal, gran canal
We could dance by the grand canal, among the gray pigeons
El mismo que aguanta la lluvia se hecha a la puerta
Whoever can withstand the rain knocks on the door
Y grita y clama hasta que despierta
And screams and cries until she wakes up
Te ama en el coche, acude si llamas gimiendo, llorando
He loves you in the car, comes running when you call moaning, crying
Dios mío, qué bellas son las mujeres
Oh my God, how beautiful women are
Olvidas algunas como las chicas de papel en tu pared, en tu pared
You forget about some things, like the paper girls on your wall
Tú quieres que baile sobre alfombras de flores
You want me to dance on flowered carpets
Y en el gran silencio te sientes capaz de andar sobre el mar, sobre el mar
And in the great silence, you feel capable of walking on the sea
Un momento en que te sentirás animal, animal, animal, animal, animal, mmm la señal
A moment will come when you will feel like an animal, and the signal will sound
Lyrics © O/B/O APRA AMCOS
Written by: Francis Cabrel
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
@lecontefabienne2063
Tu voudrais qu'elle t'aime
T'as changé tes manières,
Tu prends des allures mondaines,
Tu racontes seulement
Tes voyages en première,
En première.
Tu veux qu'elle t'estime,
Tu sors tes plus belles lectures,
T'as vu des centaines de films,
T'explique d'où viennent
Ces tapis sur le mur, sur le mur.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal.
Tu voudrais qu'elle rêve,
Tu gardes un petit doigt en l'air,
Tu parles de décalages horaires,
Des plages blanches
À l'autre bout de la terre,
De la terre.
(Ou)Pourquoi pas Venise,
Quand les fontaines s'allument,
En dessous des lumières grises,
On pourrait danser
Sur le bord des lagunes,
Des lagunes.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal,
Un moment où tu vas t'sentir...
Animal, animal, animal,
Animal, animal.
Celui qui attend sous le déluge,
Qui couche contre la porte,
Celui qui crie,
Qui hurle jusqu'à ce que tu sortes,
Qui t'aime dans la voiture,
Qui court quant tu appelles,
Qui pleure, qui pleure, qui pleure
«Mon Dieu que les femmes sont belles!»
«Mon dieu, mon Dieu, mon Dieu...»
«Que les femmes sont...»
Tu voudrais qu'elle danse,
Qu'il y ait des fleurs partout par terre,
Et dans le grand silence,
Tu te sens capable de marcher sur la mer,
Sur la mer.
Tu voudrais qu'elle t'aime,
Tu sors tes plus belles lectures,
Et t'en oublies certaines,
Comme ces filles à plat posées sur tes murs,
Sur tes murs.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal,
Un moment où tu vas t'sentir...
Animal, animal, animal,
Animal, animal.
Animal,
Le signal,
Le signal,
Animal...
@stephanebarreau84
Sans doute ma préférée de Mr Cabrel, avec Encore et encore, ou assis sur le rebord du monde 😉😉😉😉
Je m'arrête là car son répertoire est immense et elles sont toutes belles..
@Anthony-lq8id
ça fait plaisir de pouvoir l'entendre à nouveau ! Cabrel est un véritable artiste ainsi que ceux qui l'accompagne
@electronlibre7215
Trop rare Francis Cabrel. Il manque...
@JoseTorres-pg1td
Magnifique! La primière fois que j'ai ecouté Francis Cabrel c'est etait en 1990, mais pour moi ses chansons sont toujours actuelles
@lecontefabienne2063
Tu voudrais qu'elle t'aime
T'as changé tes manières,
Tu prends des allures mondaines,
Tu racontes seulement
Tes voyages en première,
En première.
Tu veux qu'elle t'estime,
Tu sors tes plus belles lectures,
T'as vu des centaines de films,
T'explique d'où viennent
Ces tapis sur le mur, sur le mur.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal.
Tu voudrais qu'elle rêve,
Tu gardes un petit doigt en l'air,
Tu parles de décalages horaires,
Des plages blanches
À l'autre bout de la terre,
De la terre.
(Ou)Pourquoi pas Venise,
Quand les fontaines s'allument,
En dessous des lumières grises,
On pourrait danser
Sur le bord des lagunes,
Des lagunes.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal,
Un moment où tu vas t'sentir...
Animal, animal, animal,
Animal, animal.
Celui qui attend sous le déluge,
Qui couche contre la porte,
Celui qui crie,
Qui hurle jusqu'à ce que tu sortes,
Qui t'aime dans la voiture,
Qui court quant tu appelles,
Qui pleure, qui pleure, qui pleure
«Mon Dieu que les femmes sont belles!»
«Mon dieu, mon Dieu, mon Dieu...»
«Que les femmes sont...»
Tu voudrais qu'elle danse,
Qu'il y ait des fleurs partout par terre,
Et dans le grand silence,
Tu te sens capable de marcher sur la mer,
Sur la mer.
Tu voudrais qu'elle t'aime,
Tu sors tes plus belles lectures,
Et t'en oublies certaines,
Comme ces filles à plat posées sur tes murs,
Sur tes murs.
Et y'a une heure où va retentir...
Le signal,
Un moment où tu vas t'sentir...
Animal, animal, animal,
Animal, animal.
Animal,
Le signal,
Le signal,
Animal...
@hammaidir9648
Merci Fabienne! C'est tellement mieux!
@christianpigeotcaste3993
Peu importe , le courage de l'écrire pardonne .
@perfectblue8443
Leconte fabienne j'adore
@thomasya-chee-chan8676
Moi aussi
@TRIUMPHINT
Merci