Quatre-Vingt-Quinze Pour Cent
Georges Brassens Lyrics


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Les dragons de vertu n'en prennent pas ombrage,
Si j'avais eu l'honneur de commander aù bord,
A bord du Titanic quand il a fait naufrage,
J'aurais crié:"Les femm's adultères d'abord!"

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière ...
Car, pour combler les vœux, calmer la fievre ardente
Du pauvre solitaire et qui n'est pas de bois,
Nulle n'est comparable à l'epouse inconstante.
Femmes de chefs de gar', c'est vous la fleur des bois.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,
En ce qui me concerne, ayant un jour compris
Qu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise,
Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

A l'ombre des maris mais, cela va sans dire,
Pas n'importe lesquels, je les tri', les choisis.
Si madame Dupont, d'aventure, m'attire,
Il faut que, par surcroit, Dupont me plaise aussi!

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Il convient que le bougre ait une bonne poire
Sinon, me ravisant, je détale à grands pas,
Car je suis difficile et me refuse à boire
Dans le verr; d'un monsieur qui ne me revient pas.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Ils sont loins mes débuts ou, manquant de pratique,
Sur des femmes de flics je mis mon dévolu.
Je n'étais pas encore ouvert à l'esthétique.
Cette faute de gout je ne la commets plus.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Oui, je suis tatillon, pointilleux, mais j'estime
Que le mari doit être un gentleman complet,
Car on finit tous deux par devenir intimes
A force, à force de se passer le relais

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Mais si l'on tombe, hélas! sur des maris infames,
Certains sont si courtois, si bons si chaleureux,
Que, même apres avoir cessé d'aimer leur femme,
On fait encore semblant uniquement pour eux.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

C'est mon cas ces temps-ci, je suis triste, malade,
Quand je dois faire honneur à certaine pecore.
Mais, son mari et moi, c'est Oreste et Pylade,
Et, pour garder l'ami, je la cajole encore.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Non contente de me dé plaire, elle me trompe,
Et les jours ou, furieux, voulant tout mettre à bas
Je cri:"La coupe est pleine, il est temps que je rompe!"
Le mari me suppli':"Non ne me quittez pas!"

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Et je reste, et, tous deux, ensemble on se flagorne.
Moi, je lui dis:"C'est vous mon cocu préféré."
Il me réplique alors:"Entre toutes mes cornes,
Celles que je vous dois, mon cher, me sont sacrées."

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Et je reste et, parfois, lorsque cette pimbeche
S'attarde en compagni' de son nouvel amant,
Que la nurse est sorti', le mari à la peche,
C'est moi, pauvre de moi! qui garde les enfants.





Ne jetez pas la pierre à la femme adultère.

Overall Meaning

The lyrics of Georges Brassens's song Quatre-Vingt-Quinze Pour Cent are a satirical commentary on the hypocrisy of society's attitudes towards adultery. The song's main message is that adultery should not be condemned, and that in fact, it can even be a positive thing, especially for lonely people who crave companionship. Brassens expresses this sentiment through a series of humorous and ironic anecdotes, in which he describes his own experiences with married women and their husbands.


The first verse, for example, imagines Brassens as a commander on the Titanic, where he would have famously shouted, "Les femm's adultères d'abord!" ("Adulterous women first!") in the face of the traditional order of "women and children first." This sets the tone for the rest of the song's irreverent humor, as Brassens goes on to defend and celebrate the role of the adulterous woman in society.


The second and third verses continue this theme, as Brassens praises the infidelity of wives, particularly those married to policemen, as a source of comfort and pleasure for lonely men. He also emphasizes the importance of choosing the right type of husband to be a cuckold, preferring "courteous" and "warm" men to those who are less appealing.


In the final verses, Brassens takes a more introspective tone, admitting that sometimes he too becomes enamored with certain married women, even if they no longer love him. He acknowledges the complex emotional dynamics that adultery can create, but ultimately insists that it is worth it, if only for the temporary joy it brings.


In summary, Georges Brassens's song Quatre-Vingt-Quinze Pour Cent offers a witty critique of societal norms surrounding adultery, arguing that it can provide comfort, pleasure, and meaningful relationships for lonely people. The song's clever use of irony, humor, and satire makes it an enduring classic of French music.


Line by Line Meaning

Les dragons de vertu n'en prennent pas ombrage,
People who are overly virtuous don't mind my views on adultery.


Si j'avais eu l'honneur de commander aù bord,
If I had commanded the Titanic, I would have prioritized saving the adulterous women first.


A bord du Titanic quand il a fait naufrage,
When the Titanic sank.


J'aurais crié:"Les femm's adultères d'abord!"
I would have shouted "Adulterous women first!"


Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Don't judge the adulterous woman.


Je suis derrière ...
I support her.


Car, pour combler les vœux, calmer la fievre ardente
To fulfill desires and provide comfort for lonely hearts.


Du pauvre solitaire et qui n'est pas de bois,
For the poor lonely man who is not heartless.


Nulle n'est comparable à l'epouse inconstante.
No one is comparable to the unfaithful wife.


Femmes de chefs de gar', c'est vous la fleur des bois.
Wives of high-ranking officers, you are the finest women of all.


Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,
As for you, gentlemen, love as you wish.


En ce qui me concerne, ayant un jour compris
As for me, having understood one thing.


Qu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise,
That an adulterous woman is more exquisite than others.


Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.
I seek my happiness in the shadow of husbands.


A l'ombre des maris mais, cela va sans dire,
In the shadow of husbands, of course.


Pas n'importe lesquels, je les tri', les choisis.
Not just any husbands, I select and choose them.


Si madame Dupont, d'aventure, m'attire,
If Mrs. Dupont happens to attract me.


Il faut que, par surcroit, Dupont me plaise aussi!
Dupont must also please me!


Il convient que le bougre ait une bonne poire
He must be a good sport.


Sinon, me ravisant, je détale à grands pas,
Otherwise, I run away quickly.


Car je suis difficile et me refuse à boire
Because I am particular and won't drink.


Dans le verr; d'un monsieur qui ne me revient pas.
From a glass given to me by a man I dislike.


Ils sont loins mes débuts ou, manquant de pratique,
My early days are far away, when I lacked experience.


Sur des femmes de flics je mis mon dévolu.
I used to focus on policemen's wives.


Je n'étais pas encore ouvert à l'esthétique.
I was not yet open to aesthetics.


Cette faute de gout je ne la commets plus.
I don't make that mistake anymore.


Oui, je suis tatillon, pointilleux, mais j'estime
Yes, I am fussy, meticulous, but I believe that.


Que le mari doit être un gentleman complet,
The husband must be a complete gentleman.


Car on finit tous deux par devenir intimes
Because eventually, we become intimate with each other.


A force, à force de se passer le relais
As we pass the baton to each other.


Mais si l'on tombe, hélas! sur des maris infames,
But unfortunately, if we encounter unfaithful husbands,


Certains sont si courtois, si bons si chaleureux,
Some are so courteous, so good and warm,


Que, même apres avoir cessé d'aimer leur femme,
That even after they stop loving their wife,


On fait encore semblant uniquement pour eux.
We still pretend, just for them.


C'est mon cas ces temps-ci, je suis triste, malade,
That's my case these days, I'm sad, sick,


Quand je dois faire honneur à certaine pecore.
When I have to honor a certain female sheep.


Mais, son mari et moi, c'est Oreste et Pylade,
But her husband and I are like Orestes and Pylades,


Et, pour garder l'ami, je la cajole encore.
And to keep the friend, I still flatter her.


Non contente de me déplaire, elle me trompe,
Not only does she displease me, she also cheats on me,


Et les jours ou, furieux, voulant tout mettre à bas
And on days when, furious, I want to bring everything down


Je cri:"La coupe est pleine, il est temps que je rompe!"
I shout:"Enough is enough, it's time for me to leave!"


Le mari me suppli':"Non ne me quittez pas!"
The husband begs me:"Don't leave me!"


Et je reste, et, tous deux, ensemble on se flagorne.
And I stay, and together we flatter each other.


Moi, je lui dis:"C'est vous mon cocu préféré."
I tell him:"You are my favorite cuckold."


Il me réplique alors:"Entre toutes mes cornes,
And he replies:"Among all of my horns,


Celles que je vous dois, mon cher, me sont sacrées."
The ones I owe you, my dear, are the most sacred."


Et je reste et, parfois, lorsque cette pimbeche
And I stay and sometimes, when this nymph


S'attarde en compagni' de son nouvel amant,
Lingers with her new lover,


Que la nurse est sorti', le mari à la peche,
When the nanny is out and the husband is fishing,


C'est moi, pauvre de moi! qui garde les enfants.
It's me, poor me! who takes care of the children.


Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Don't judge the adulterous woman.




Lyrics © Universal Music Publishing Group
Written by: GEORGES CHARLES BRASSENS

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YvesNY

* PAROLES EXACTES *

La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais...

{Refrain:}
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas

Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Ell' s'emmerd' sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure

{au Refrain} Quatre-vingt-quinze fois sur cent.....

Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'ell' crie pour simuler qu'ell' monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

{au Refrain} Quatre-vingt-quinze fois sur cent.....

J'entends aller de bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdam's, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...

{au Refrain} Quatre-vingt-quinze fois sur cent.....



Marilyne Chenuet

@Paul Tix
Alors-là, je suis bien d'accord : il faudrait que les femmes osent dire tout haut ce qu'elles pensent tout bas ! Sinon, comment voulez-vous comprendre ce qu'elles ont dans la tête ? c'est juste impossible !

En plus, si elles vous laissent croire que c'était du tonnerre, pourquoi changeriez-vous "ce qui a bien marché la dernière fois ?" Y'a pas de raison !

Tout ça parce qu'elles veulent vous faire plaisir ! alors elles peuvent simuler plus que ce qu'elles ressentent ; alors vous, vous pensez "ce que j'ai fait est parfait !" et c'est normal puisqu'elles vous laissent le penser : puis, elles deviennent de + en + frustrées parce qu'après un moment elles en ont marre (alors que le problème vient d'elles puisqu'elles n'ont pas su/voulu vous dire que "ce n'était pas parfait" pour ne pas heurter l'orgueil masculin), donc elles ne se donnent plus la peine de dire que ça va pas, elles vous en veulent car vous ne devinez pas pourquoi "ça va pas" (c'est dingue !) et vous, vous pigez de moins en moins et ça vous saoule ! et y'a de quoi !

Donc, on finit avec une nana qui vous en veut de ce qu'elle a amorcé, et des mecs perdus qui vont voir ailleurs car "elle ne sait pas ce qu'elle veut" ou "elle fait la gueule et ne veut plus le faire"
Les 2 sont frustrés et ne se comprennent plus du tout, tout simplement par manque de communication : elles n'osent plus dire qu'elles ont augmenté ce qu'elles exprimaient au départ pour vous faire plaisir, et vous vous ne dites JAMAIS rien :-) ! car pour un mec parler d'un problème voudrait dire que vous AVEZ un problème ; et comme les mecs se définissent par leurs compétences... ce serait signe d'échec !

C'est du délire caractérisé tout ça ! DOnc, je suis absolument d'accord avec vous Paul :-) !



Paul Tix

+Marilyne Chenuet

Le plus gros problème c'est le défaut de communication qui est un cercle vicieux, l'homme se gausse dans son orgueil alors que la femme ose de moins en moins lui avouer la vérité... La vraie révolution, mesdames, est entre vos mains. Osez nous dire ce qui ne vous va pas (avec un poil de diplomatie, tout passe) et encore mieux, ce qui vous plaît !

Idem pour les mecs d'ailleurs, vous êtes pas toutes de déesses au pieu non plus nous concernant (loin de là) et on préserve aussi votre égo là dessus, inutile de se voiler la face là dessus également...

Souffrez, mesdames, que nous puissions nous en remettre allègrement en vue de parties de jambes en l'air plus enthousiasmantes pour tout le monde ;) Ce serait vraiment dommage de faire semblant lorsque le plaisir peut être partagé, vous ne croyez pas ?
Quand bien même votre partenaire se barre pour ça, et bien vous n'aurez rien perdu au change !
A bonne entendeuse, salut ! ;)



Nathanas Legros

Les dragons de vertu n'en prennent pas ombrage,
Si j'avais eu l'honneur de commander aù bord,
A bord du Titanic quand il a fait naufrage,
J'aurais crié:"Les femm's adultères d'abord!"

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière ...

Car, pour combler les vœux, calmer la fievre ardente
Du pauvre solitaire et qui n'est pas de bois,
Nulle n'est comparable à l'epouse inconstante.
Femmes de chefs de gar', c'est vous la fleur des bois.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,
En ce qui me concerne, ayant un jour compris
Qu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise,
Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

A l'ombre des maris mais, cela va sans dire,
Pas n'importe lesquels, je les tri', les choisis.
Si madame Dupont, d'aventure, m'attire,
Il faut que, par surcroit, Dupont me plaise aussi!

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Il convient que le bougre ait une bonne poire
Sinon, me ravisant, je détale à grands pas,
Car je suis difficile et me refuse à boire
Dans le verr; d'un monsieur qui ne me revient pas.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Ils sont loins mes débuts ou, manquant de pratique,
Sur des femmes de flics je mis mon dévolu.
Je n'étais pas encore ouvert à l'esthétique.
Cette faute de gout je ne la commets plus.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Oui, je suis tatillon, pointilleux, mais j'estime
Que le mari doit être un gentleman complet,
Car on finit tous deux par devenir intimes
A force, à force de se passer le relais

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Mais si l'on tombe, hélas! sur des maris infames,
Certains sont si courtois, si bons si chaleureux,
Que, même apres avoir cessé d'aimer leur femme,
On fait encore semblant uniquement pour eux.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

C'est mon cas ces temps-ci, je suis triste, malade,
Quand je dois faire honneur à certaine pecore.
Mais, son mari et moi, c'est Oreste et Pylade,
Et, pour garder l'ami, je la cajole encore.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Non contente de me dé plaire, elle me trompe,
Et les jours ou, furieux, voulant tout mettre à bas
Je cri:"La coupe est pleine, il est temps que je rompe!"
Le mari me suppli':"Non ne me quittez pas!"

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Et je reste, et, tous deux, ensemble on se flagorne.
Moi, je lui dis:"C'est vous mon cocu préféré."
Il me réplique alors:"Entre toutes mes cornes,
Celles que je vous dois, mon cher, me sont sacrées."

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...

Et je reste et, parfois, lorsque cette pimbeche
S'attarde en compagni' de son nouvel amant,
Que la nurse est sorti', le mari à la peche,
C'est moi, pauvre de moi! qui garde les enfants.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère



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Lunapinot

Cette chanson a été écrite au début des années 70. An de grâce 2012, nous avons joué dans un petit village (en Italie), j'ai été étonné quand j'ai vu les visages et les expressions des femmes qui ont écouté cette chanson pour la première fois. C'est la preuve que Brassens a touché la cible, le point sensible éternelle

Catherine Richard

@Cedric comprends rien ...

Cedric

@Catherine Richard libre à vous de choisir les traiteaux (95 fois sur cent... ta compris?)
😆

Catherine Richard

Ben oui le point sensible "éternel" orthographié au masculin , puisque ça fait des millénaires que vous tringlez comme des patates ! Heureusement que certaines ont eu la bonne idée de s'émanciper et ce sont aperçues que si elles ne faisaient pas 95 fois sur cent l' boulot elles restaient en rade ! 
Quatre vingt quinzE fois sur cent , l'hommE baisE comme un gros gland , qu'il(E) LE taise ou qu'il le con-fesse c'est pas tous les jours qu'il peut nous réjouir les fesses ! tralalalal
T'as compris bonhomme !

Hades 16

I'm from Poland, I don't understand shit from your language, but in Poland we have Brassens' coverband, so I understand the clue of his songs. It's awesome, he were proably the best singing poetry writer in history of Europe!

Rasenna

@Michel Erichsen Thank you, i wil listen his songs :)

Michel Erichsen

@Rasenna Listen to the songs of Vladimir Vyssotski, he was your poet, like Brassens for frenchies. But Brassens was not addicted to vodka, he suffered too serious health problems :) Vyssotski came to France to get advices from Rinpoché, about the best way to stay far away from alcohol. Wasze zdrowie !

Frakfayt

It is difficult but some people managed to do it a good deal: Greame Allwright has recorded a CD in 1982/83, based on translations/adaptations by a Scottish gentleman. There are adaptations in the USA, in particular a rather good one from "Les copains d'abord". And we also Russian versions, by a guy who unfortunately passed away some years ago. There is also a band whose members sing in English a very explicit version of "Quatre vingt quinze fois sur cent". So yes, Brassens is still famous, some 38 years after his death...Look for the band called "Bad reputation". The solo guitarist with grey/white hair is a guy called Joel Favreau, who used to play with Brassens from 1972 to his death in 1981.

Perrine Kld

Well if you translate it's basically 'kurwa kurwie kurwo' siema pl !!

Frakfayt

Brassens has fans in Poland? This is great news. I knew there were German, Russian, English, Spanish, American and possibly Italian adaptations of Brassens. But never heard of Poland. Greetings.

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