Allwright traveled to France in the early 1950's and married Catherine Dasté. His son Christophe Allwright, is a French comedian.
In the early '60s, Allwright sang at a number of clubs in Paris, folk music that was very big in the 60s. He wrote his own music, and created the French language versions of many songs by US and Canadian artists like Tom Paxton ("Sacrée Bouteille" "Qu'as tu appris à l'école?"), Leonard Cohen ("Suzanne") and Pete Seeger ("Jusqu' à la ceinture").
His earlier music focused more on social protest songs. As he matured as an artist, his songs became more personal, and his choice in material included more funny songs, songs with a mystical bent ("Garder le Souvenir", "Lumière"), and songs about the complexities of relationships ("No Man's Land"). Some of his songs are in English, but the vast majority are in French.
He has travelled extensively, to the Himalayas, Réunion Island, and Madascar, among other places. He was strongly influenced by the Indian master and teacher Sri Aurobino, which is reflected in the mystical qualities of some of his songs.
In 2005, he wrote new lyrics for the French National Anthem, "La Marseillaise".
Emmène-moi
Graeme Allwright Lyrics
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Depuis la Rochelle jusqu'en Avignon
De Nantes jusqu'à Monaco
En passant par Metz et Saint-Malo
Et Paris
Et j'ai vendu des marrons à la foire de Dijon
Et d'la barbe à papa
Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds
Emmène-moi
Je ne veux plus voyager
J'ai dormi toute une nuit dans un abreuvoir
J'ai attrapé la grippe et des idées noires
J'ai eu mal aux dents et la rougeole
J'ai attrapé des rhumes et des p'tites bestioles
Qui piquent
Sans parler de toutes les fois que j'ai coupé mes doigts
Sur une boîte à sardines
Emmène-moi
Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds
Emmène-moi
Je ne veux plus voyager
Je les vois tous les deux comme si c'était hier
Au coucher du soleil, Maman mettant l'couvert
Et mon vieux Papa avec sa cuillère
Remplissant son assiette de pommes de terre
Bien cuites
Et les dimanches Maman coupant une tranche
De tarte aux pommes
Emmène-moi
Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds
Emmène-moi
Je ne veux plus voyager
Emmène-moi
Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds
Emmène-moi
Je ne veux plus voyager
Graeme Allwright's song "Emmène-Moi" is a melancholic reflection on the difficulties of traveling and the longing for home. The lyrics describe the various places the singer has visited, from Brest to Besançon, from La Rochelle to Avignon, from Nantes to Monaco. They mention selling chestnuts and cotton candy at the fair in Dijon, sleeping in a watering trough, getting sick and catching "little bugs that sting." The singer reminisces about their childhood, specifically Sundays with their parents, where they would eat together the apple pie made by their mother and see their father scoop mashed potatoes onto his plate.
The refrain "Emmène-moi" (Take me) expresses the singer's weariness with traveling and desire to return home. The repetition of the line "My heart is sad, and my feet hurt" emphasizes the physical and emotional toll of constant movement. The song ends with a repetition of the chorus, highlighting the singer's yearning for stability and the comforts of home.
Line by Line Meaning
J'ai voyagé de Brest à Besançon
I have traveled from Brest to Besancon.
Depuis la Rochelle jusqu'en Avignon
From La Rochelle to Avignon.
De Nantes jusqu'à Monaco
From Nantes to Monaco.
En passant par Metz et Saint-Malo
Passing through Metz and Saint-Malo.
Et Paris
And Paris.
Et j'ai vendu des marrons à la foire de Dijon
And I sold chestnuts at the Dijon fair.
Et d'la barbe à papa
And cotton candy.
J'ai dormi toute une nuit dans un abreuvoir
I slept a whole night in a trough.
J'ai attrapé la grippe et des idées noires
I caught the flu and had dark thoughts.
J'ai eu mal aux dents et la rougeole
I had toothache and measles.
J'ai attrapé des rhumes et des p'tites bestioles
I caught colds and little bugs.
Qui piquent
That sting.
Sans parler de toutes les fois que j'ai coupé mes doigts
Not to mention all the times I cut my fingers.
Sur une boîte à sardines
On a sardine can.
Je les vois tous les deux comme si c'était hier
I see both of them as if it were yesterday.
Au coucher du soleil, Maman mettant l'couvert
At sunset, Mom setting the table.
Et mon vieux Papa avec sa cuillère
And my old Dad with his spoon.
Remplissant son assiette de pommes de terre
Filling his plate with potatoes.
Bien cuites
Well-cooked.
Et les dimanches Maman coupant une tranche
And on Sundays, Mom cutting a slice.
De tarte aux pommes
Of apple pie.
Emmène-moi
Take me.
Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds
My heart is sad, and my feet hurt.
Je ne veux plus voyager
I don't want to travel anymore.
Contributed by Michael P. Suggest a correction in the comments below.
@dayaneaquino1800
J'ai voyagé de Brest à Besançon, depuis La Rochelle jusqu'en Avignon
De Nantes jusqu'à Monaco, en passant par Metz et St-Malo et Paris
Et j'ai vendu des marrons à la foire de Dijon, et la barbe à papa.
Emmène-moi! Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds.
Emmène-moi! Je ne veux plus voyager.
J'ai dormi toute une nuit dans un abreuvoir.
J'ai attrapé la grippe et des idées noires.
J'ai eu mal aux dents et la rougeole.
J'ai attrapé des rhumes et des petites bestioles qui piquent
Sans parler de toutes les fois que j'ai coupé mes doigts
Sur une bonite à sardines.
Emmène-moi! Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds.
Emmène-moi! Je ne veux plus voyager.
Je les vois tous les deux comme si c'était hier.
Au coucher du soleil, Maman mettant le couvert
Et mon vieux papa, avec sa cuillère
Remplissant son assiette de pommes de terre bien cuites
Et les dimanches, Maman coupant une tranche de tarte aux pommes.
Emmène-moi! Mon cœur est triste et j'ai mal aux pieds.
Emmène-moi! Je ne veux plus voyager.
@loicchardon8396
Je me rappelle de cette chanson qu'une très gentille institutrice de cp nous chantait dans les années 80. J'ai 42 balais et grâce à vous je la retrouve. La paix soit avec vous et même si je ne vous connais pas je vous aime.
@quiritvs
que de souvenirs , les colos et les camps d'ado , on les connait par coeur ses chansons , bravo Graeme on t'adore.
@LaurentJean51
C’était une époque formidable ! nous nous retrouvions pour des feux de camps improvisés sur les hauteurs du quartier Saint-Martin à Saint-Quentin. Fone qui a quitté ce monde bien trop tôt grattait sur sa sèche, accompagnait sur sa 12 cordes par Grasgras qui avait piqué mon vélo, il y avait s’BU avec son look de John Mayall, la Rame et Phil le Marchand plus toutes celles et ceux dont ma mémoire a fini par effacer le nom. « Emmène moi » de Greame Allwright et de nombreux titres de son répertoire puis le Gorille de Georges Brassens et les copains d’abord avec pour bouquet final une composition locale qui commençait par « A chtheure que ce n’homme y vit plus, elle n’avio plus zoziaux à …… » je ne peux pas continuer plus loin sinon la censure va me tomber dessus, la tolérance de ce BVT était la marque de fabrique de notre poète Franco-néo-zélandais ,de nos jours ce n’est plus de mise……..
@gerardrouat7796
Super souvenirs , les bons moments passés autour d'un feu de camp
@ignace7N
JE connais par coeur beaucoup des chansons de Graeme et je les réecoute régulièrement et je suis même allé l'écouter 2fois au "Petit Journal Montparnasse" toujours avec le même plaisir ,ses chansons sont toujours d'actualité,j espère encore le voir à son prochain spectacle
@patriciaberisa1153
Rip BK que ton repos te soit doux comme un paysage d'automne, j'ai du mal à imaginer que tu ne sois plus là
@Luciole61
Que de souvenir, mon papa à la guitare qui me faisait chanter!
@gluups
Quel talent !
@francispiole7372
Superbe cela me ramène bien des années en arrière
@pierreyvesguilbot
deja 30 ans que j'ecoute et j'adore toujours