Jean Ferrat (born Jean Tenenbaum on 26 December 1930 in Vaucresson, Hauts-d… Read Full Bio ↴Jean Ferrat (born Jean Tenenbaum on 26 December 1930 in Vaucresson, Hauts-de-Seine, and died on 13 March 2010) was a French author, poet and singer. In the early 1950s he started in Parisian cabaret, and since then has not attempted to adhere to any particular musical style but remain faithful to himself, his friends and public. Sometimes referred to as the "romantique rebelle de la chanson française".
In 1961 he married Christine Sèvres. During his carrer, Ferrat has had some difficulty with the authorities owing to his humanist perpective and links with communism.
His most famous songs are: Que serais-je sans toi, Heureux celui qui meurt d'aimer, Potemkine, La montagne, Les feux de Paris, L'amour est cerise and many others.
His lyrics are very much influenced by french poet Aragon.
In 1961 he married Christine Sèvres. During his carrer, Ferrat has had some difficulty with the authorities owing to his humanist perpective and links with communism.
His most famous songs are: Que serais-je sans toi, Heureux celui qui meurt d'aimer, Potemkine, La montagne, Les feux de Paris, L'amour est cerise and many others.
His lyrics are very much influenced by french poet Aragon.
Carco
Jean Ferrat Lyrics
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Il avait toujours dans la tête
Le manège d'anciens tourments
De la fenêtre par moment
Parvenaient des bouffées de fête
Où sont les lumières lointaines
Voici fermés les yeux éteints
Ce chant des lilas au matin
De Montmartre à Mortefontaine
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Tu meurs sans avoir vu le drame
Carco qui ne sus que chanter
Te souviens tu de cet été
De Nice où nous nous rencontrâmes
On faisait semblant d'être heureux
Le ciel ressemblait à la mer
Même l'aurore était amère
C'était en l'an quarante-deux
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Excuse-moi que je le dise
Dans ce Paris où tu n'es plus
Comme Guillaume l'a voulu
Qu'un nom qui se mélancolise
Que l'avenir du moins n'oublie
Ce qui fut le charme de l'air
Le bonheur d'être et le vin clair
La Seine douce dans son lit
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Ce coeur que l'homme avec lui porte
Ne change pas avec le vent
Nous mettrons demain comme avant
Des coquelicots à nos portes
Les mots que nous avons cueillis
Les voici pour celui qui meurt
Passent les gens et tu demeures
O poète de mon pays
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Il avait toujours dans la tête
Le manège d'anciens tourments
De la fenêtre par moment
Parvenaient des bouffées de fête
Voici fermés les yeux éteints
Ce chant des lilas au matin
De Montmartre à Mortefontaine
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Tu meurs sans avoir vu le drame
Carco qui ne sus que chanter
Te souviens tu de cet été
De Nice où nous nous rencontrâmes
On faisait semblant d'être heureux
Le ciel ressemblait à la mer
Même l'aurore était amère
C'était en l'an quarante-deux
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Excuse-moi que je le dise
Dans ce Paris où tu n'es plus
Comme Guillaume l'a voulu
Qu'un nom qui se mélancolise
Que l'avenir du moins n'oublie
Ce qui fut le charme de l'air
Le bonheur d'être et le vin clair
La Seine douce dans son lit
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Ce coeur que l'homme avec lui porte
Ne change pas avec le vent
Nous mettrons demain comme avant
Des coquelicots à nos portes
Les mots que nous avons cueillis
Les voici pour celui qui meurt
Passent les gens et tu demeures
O poète de mon pays
Dis qu'as tu fait des jours enfuis
De ta jeunesse et de toi-même
De tes mains pleines de poèmes
Qui tremblaient au bout de ta nuit
Lyrics © O/B/O APRA AMCOS
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Kriss
une magnifique chanson en l'honneur du poète F. Carco sur un bel air de valse :)
Bernard Milhau
Ferrat de tes montagnes ..... de l Ardèche tu peut dire que tu a signé une très belle chanson pour ce poète F Carco ..... merci Jean repose en paix tu le mérites.....nous on va essayer de ne pas oublier ta mémoire.....
Janine WIETRICH
Oui magnifique Jean
Francoise Duprez
Magnifique
Catherine Sanchez
♡
Pat Kolar
super super
Marcelle Boissavy
Superbe 😊
Francoise Duprez
Pat Kolar merveilleux francoise ales
Francoise Duprez
Ne pet on arrêter ces publicités sur la prise de poids ou autres c est vraiment desagreable