In 1961 he married Christine Sèvres. During his carrer, Ferrat has had some difficulty with the authorities owing to his humanist perpective and links with communism.
His most famous songs are: Que serais-je sans toi, Heureux celui qui meurt d'aimer, Potemkine, La montagne, Les feux de Paris, L'amour est cerise and many others.
His lyrics are very much influenced by french poet Aragon.
Le Malheur D'Aimer
Jean Ferrat Lyrics
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Les jours sont des soleils grimés
De quoi la nuit rêvent les roses
Tous les feux s'en vont en fumée
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée au bout des chambres
Où la lampe était allumée
Ni nos bras sur nous refermés
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée à la fenêtre
Les parcs en vain sont parfumés
Où peux-tu où peux-tu bien être
A quoi bon vivre au mois de mai
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que sais-tu de la longue attente
Et ne vivre qu'à te nommer
Dieu toujours même et différente
Et de toi moi seul à blâmer
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que je m'oublie et je demeure
Comme le rameur sans ramer
Sais-tu ce qu'il est long qu'on meure
A s'écouter se consumer
Connais-tu le malheur d'aimer
The lyrics to Jean Ferrat's song "Le Malheur D'Aimer" speak about the pain and sorrow of loving someone who may not feel the same way. The opening lines ask the listener if they truly understand the simplest things in life, such as the changing of the days and the dreams of the roses at night. The chorus repeats the question "Que sais-tu du malheur d'aimer?" which translates to "What do you know of the pain of love?"
The verses describe the singer's journey to find their love, searching through rooms and at the window, but never finding them. The last verse describes a feeling of being consumed by love, forgetting oneself and waiting endlessly for the other person's love to be returned. The use of imagery such as "our steps not sounding together" and "the parks in vain are perfumed" highlights the sense of longing and the sense of something missing.
Overall, the song is a heartfelt expression of unrequited love and the agony that comes with it. The repeated question in the chorus asks the listener if they truly understand, and perhaps suggests that those who haven't experienced this type of love cannot fully comprehend the pain it brings.
Line by Line Meaning
Que sais-tu des plus simples choses
What do you know of the most simple things?
Les jours sont des soleils grimés
Days are masked suns
De quoi la nuit rêvent les roses
Of what do roses dream at night?
Tous les feux s'en vont en fumée
All fires go up in smoke
Que sais-tu du malheur d'aimer
What do you know of the pain of love?
Je t'ai cherchée au bout des chambres
I looked for you at the end of rooms
Où la lampe était allumée
Where the lamp was lit
Nos pas n'y sonnaient pas ensemble
Our steps didn't sound together there
Ni nos bras sur nous refermés
Nor did our arms close around us
Je t'ai cherchée à la fenêtre
I looked for you at the window
Les parcs en vain sont parfumés
The parks are fragrant in vain
Où peux-tu où peux-tu bien être
Where can you be, where can you be
A quoi bon vivre au mois de mai
What good is living in May?
Que sais-tu du malheur d'aimer
What do you know of the pain of love?
Que sais-tu de la longue attente
What do you know of the long wait?
Et ne vivre qu'à te nommer
And live only to call your name
Dieu toujours même et différente
God always the same and different
Et de toi moi seul à blâmer
And only blame myself for you
Que sais-tu du malheur d'aimer
What do you know of the pain of love?
Que je m'oublie et je demeure
That I forget myself and remain
Comme le rameur sans ramer
Like the oarsman without rowing
Sais-tu ce qu'il est long qu'on meure
Do you know how long it is to die?
A s'écouter se consumer
To listen to oneself consume
Connais-tu le malheur d'aimer
Do you know the pain of love?
Contributed by Parker V. Suggest a correction in the comments below.
Francine Déziel
Que sais-tu des plus simples choses
Les jours sont des soleils grimés
De quoi la nuit rêvent les roses
Tous les feux s'en vont en fumée
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée au bout des chambres
Où la lampe était allumée
Nos pas n'y sonnaient pas ensemble
Ni nos bras sur nous refermés
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée à la fenêtre
Les parcs en vain sont parfumés
Où peux-tu où peux-tu bien être
A quoi bon vivre au mois de mai
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que sais-tu de la longue attente
Et ne vivre qu'à te nommer
Dieu toujours même et différente
Et de toi moi seul à blâmer
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que je m'oublie et je demeure
Comme le rameur sans ramer
Sais-tu ce qu'il est long qu'on meure
A s'écouter se consumer
Connais-tu Le malheur d'aimer
Louis Tallarico
C’était un être exceptionnel Jean,doté d’un talent que peu d’artiste possède.
Il savait représenter cette France profonde,et avait cette pudeur incommensurable dont le public appréciait particulièrement.
Jacques Petre
Vous avez tout dit Monsieur ! Merci
marie-agnes Piret
L'écouter encore et encore. S'en nourrir, ce n'est pas du temps perdu !
Jacques Petre
Toujours l écouter !
Jacques Petre
Connais tu le malheur d'aimer ! Un petit rubis !
Evelyne TOULOUSE
Non, c'est un régal que de pouvoir encore l'écouter, quel HOMME sincère et vrai.
Vincianne Van weyenbergh
Ces poèmes sont une excellente nourriture pour l'âme.
Francine Déziel
Que sais-tu des plus simples choses
Les jours sont des soleils grimés
De quoi la nuit rêvent les roses
Tous les feux s'en vont en fumée
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée au bout des chambres
Où la lampe était allumée
Nos pas n'y sonnaient pas ensemble
Ni nos bras sur nous refermés
Que sais-tu du malheur d'aimer
Je t'ai cherchée à la fenêtre
Les parcs en vain sont parfumés
Où peux-tu où peux-tu bien être
A quoi bon vivre au mois de mai
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que sais-tu de la longue attente
Et ne vivre qu'à te nommer
Dieu toujours même et différente
Et de toi moi seul à blâmer
Que sais-tu du malheur d'aimer
Que je m'oublie et je demeure
Comme le rameur sans ramer
Sais-tu ce qu'il est long qu'on meure
A s'écouter se consumer
Connais-tu Le malheur d'aimer
jerome legardien
Quelle magnifique chanson, vraiment...la chair de poule..merci Mr Aragon,mais la voix de Jean avec cette mélodie est sublime....
Louis Tallarico
A écouter,que du bonheur,à ne pas sans lasser