Manu Chao, born José-Manuel Thomas Arthur Chao on June 21, 1961, in Paris, … Read Full Bio ↴Manu Chao, born José-Manuel Thomas Arthur Chao on June 21, 1961, in Paris, France, is a multifaceted musician celebrated for his eclectic musical style and socially conscious lyrics. Chao's musical journey began in the vibrant Parisian music scene, where he immersed himself in diverse influences ranging from punk and rock to reggae and salsa. Co-founding the band Mano Negra in 1987, Chao showcased his knack for blending genres, resulting in international acclaim with albums like "Patchanka" (1988) and "Casa Babylon" (1994). Following the dissolution of Mano Negra in 1995, Chao embarked on a prolific solo career, marked by albums such as "Clandestino" (1998) and "Próxima Estación: Esperanza" (2001), where he continued to push musical boundaries while addressing social and political issues. Incorporating elements of street music and bar scenes from various cultures, Chao formed Radio Bemba Sound System, collaborating with musicians from Mexico, Brazil, and Argentina to create a vibrant fusion of sounds. His innovative use of technology, including recording exclusively on a laptop, reflects his commitment to artistic experimentation. Through his music, Chao has championed themes of cultural diversity, social justice, and global solidarity, earning him a revered status as a visionary musician and cultural ambassador.

Full Wikipedia article: https://en.wikipedia.org/wiki/Manu_Chao

Discography
Clandestino (1998)
Próxima Estación: Esperanza (2001)
Radio Bemba Sound System (2002)
Sibérie m'était contéee (2004)
La Radiolina (2007)
Baionarena (2008)

Les Mille Paillettes
Manu Chao Lyrics

Jump to: Overall Meaning ↴ Line by Line Meaning ↴

Je les voulais et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois

Je me revois tel un pacha
Dans un grand lit plein de Fatma
Entouré de cent mille paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je m'y revois tel un pacha
Je m'y revois et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes
Tout seul ma gueule encore une fois
Tout seul ma gueule je m'y revois

Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais toutes à mille paillettes
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes
Y'a plus la Louise, Y'a plus Ginette
Y'a plus Francine, y'a plus que ma tête
Entouré de cent mille paillettes
Encore une fois je m'y revois

Je les voulais à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais qui font la fête
Je les voulais toutes aux abois
Je les voulais toutes dans mes bras
Je les rêvais belles et fragiles
Je les rêvais tellement dociles
Je les voulais, et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois

Je me revois tel un pacha
Entouré de cent mille Fatma
Dans un grand lit plein de paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Tout seul ma gueule encore une fois
Tout seul ma gueule, je m'y revois
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Dans un grand lit à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi

Je les voulais à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais qui font la fête
Je les voulais toutes aux abois
Je les voulais toutes dans mes bras
Je les rêvais belles et fragiles
Je les rêvais tellement dociles
Je les voulais, et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois

Je me revois tel un pacha
Entouré de cent mille Fatma
Dans un grand lit plein de paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je m'y revois et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes

Y'a plus la Louise, y'a plus Ginette
Y'a plus Francine, y'a plus que moi

Overall Meaning

The song "Les Mille Paillettes" by Manu Chao is about the desire for admiration and beauty. The chorus repeats the line "Je les voulais à mille paillettes" which translates to "I wanted them with a thousand sparkles." The singer longs for these dazzling women, imagining them as fragile and docile, all rejoicing around him, and ultimately end up alone, sitting with no direction or purpose.

The first verse of the song reveals the singer's deep-rooted desire for these women who are too beautiful for him. He wants them to be partying and in his arms, becoming the center of attention. He perceives them as fragile and wishes for them to be obedient. However, his desire becomes too powerful, and he gets lost in it, sitting alone and disconnected.

The second verse describes the singer immersed in a fantasy of being a "pacha," surrounded by hundreds of sparkly females. However, this wish is also fleeting, and he ends up alone again, with none of the desired women left. The song repeats the chorus several times, highlighting the singer's endless longing for these sparkling women, which ultimately leaves him feeling empty.

Overall, the song speaks about the desire for beauty, and the illusion of happiness that comes with obtaining it. Its repetitive nature emphasizes the idea that the search for this type of admiration and beauty can lead to an unfulfilled life.

Line by Line Meaning

Je les voulais à mille paillettes
I wanted them to shine brightly with a thousand glittering sequins

Je les voulais trop belles pour moi
I wanted them to be too beautiful for me

Je les voulais qui font la fête
I wanted them to be the life of the party

Je les voulais toutes aux abois
I wanted them all to be under my mercy

Je les voulais toutes dans mes bras
I wanted to have them all in my arms

Je les voyais belles et fragiles
I saw them as beautiful and fragile

Je les rêvais belles et fragiles
I dreamt of them as beautiful and fragile

Je les rêvais tellement dociles
I dreamt of them being so obedient

Je les voulais et je me noie
I wanted them so badly that I'm drowning in my own desire

Assis tout seul sans queue ni tête
Sitting alone, without direction or plan

Je me revois tel un pacha
I see myself like a king

Dans un grand lit plein de Fatma
In a large bed surrounded by women named Fatma

Entouré de cent mille paillettes
Surrounded by a hundred thousand shining things

Y'avait Francine, y'avait Ginette
There was Francine, there was Ginette

Y'avait la Louise et Roberta
There was Louise and Roberta

Y'a plus ni tambours, ni trompettes
There's no more fanfare

Tout seul ma gueule encore une fois
All alone, again and again

Je me revois et je me noie
I see myself drowning again

Y'a plus la Louise, y'a plus Ginette
Louise and Ginette are no more

Y'a plus Francine, y'a plus que ma tête
Francine is no more, only my head remains

Je me revois tel un pacha
I see myself like a king

Entouré de cent mille Fatma
Surrounded by a hundred thousand women named Fatma

Je les voulais trop belles pour moi
I wanted them to be too beautiful for me

Je me revois et je me noie
I see myself drowning again

Je les voulais toutes à mille paillettes
I wanted them all to shine brightly with a thousand glittering sequins

Je les rêvais tellement dociles
I dreamt of them being so obedient

Y'a plus ni tambours, ni trompettes
There's no more fanfare

Y'a plus la Louise, y'a plus Ginette
Louise and Ginette are no more

Y'a plus Francine, y'a plus que moi
Francine is no more, only I remain

Je les voulais toutes dans mes bras
I wanted to have them all in my arms

Je les rêvais belles et fragiles
I dreamt of them as beautiful and fragile

Et je me noie
And I drown in my own desire

Assis tout seul sans queue ni tête
Sitting alone, without direction or plan

Lyrics © O/B/O APRA/AMCOS

Lyrics Licensed & Provided by LyricFind

To comment on or correct specific content, highlight it

TRACKS

Genre not found

Artist not found

Album not found

Search results not found

Song not found

Most interesting comment from YouTube:

Nicolas Domonguez

1y↑1

Je les voulais à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais qui font la fête
Je les voulais toutes aux abois
Je les voulais toutes dans mes bras
Je les voyais belles et fragiles
Je les rêvais belles et fragiles
Je les rêvais tellement dociles
Je les voulais et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois
Je me revois tel un pacha
Dans un grand lit plein de Fatma
Entouré de cent mille paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je m'y revois tel un pacha
Je m'y revois et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes
Tout seul ma gueule encore une fois
Tout seul ma gueule je m'y revois
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais toutes à mille paillettes
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes
Y'a plus la Louise, Y'a plus Ginette
Y'a plus Francine, y'a plus que ma tête
Entouré de cent mille paillettes
Encore une fois je m'y revois
Je les voulais à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais qui font la fête
Je les voulais toutes aux abois
Je les voulais toutes dans mes bras
Je les rêvais belles et fragiles
Je les rêvais tellement dociles
Je les voulais, et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois
Je me revois tel un pacha
Entouré de cent mille Fatma
Dans un grand lit plein de paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Tout seul ma gueule encore une fois
Tout seul ma gueule, je m'y revois
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Dans un grand lit à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais à mille paillettes
Je les voulais trop belles pour moi
Je les voulais qui font la fête
Je les voulais toutes aux abois
Je les voulais toutes dans mes bras
Je les rêvais belles et fragiles
Je les rêvais tellement dociles
Je les voulais, et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Tout seul ma gueule encore une fois
Je me revois tel un pacha
Entouré de cent mille Fatma
Dans un grand lit plein de paillettes
Y'avait Francine, y'avait Ginette
Y'avait la Louise et Roberta
Je m'y revois et je me noie
Assis tout seul sans queue ni tête
Y'a plus ni tambours, ni trompettes
Y'a plus la Louise, y'a plus Ginette
Y'a plus Francine, y'a plus que moi