Les Acadiens
Michel Fugain Lyrics
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Et dans un coin du Canada
Des tas de gars, des tas de femmes
Qui chantent dans la même langue que toi
Mais quand ils font de la musique
C'est celle de Rufus Thibodeaux
Ils rêvent encore de l'Amérique
Qu'avait rêvée leur grand-papa
Tous les Acadiens, toutes les Acadiennes
Vont chanter, vont danser sur le violon
Sont Américains, elles sont Américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Le coton c'est doux, c'est blanc, c'est chouette
Pour s'mettre de la crème sur les joues
Mais ceux qui en font la cueillette
Finissent la journée sur les genoux
Et puis s'en vont faire d'la musique
Comme celle de Rufus Thibodeaux
Pour oublier que l'Amérique
C'est plus celle de leur grand-papa
C'est bien changé depuis c'temps-là
Tous les Acadiens, toutes les Acadiennes
Vont chanter, vont danser sur le violon
Sont Américains, elles sont Américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Quand ils ont bossé six jours de suite
Pour une poignée d'dollars dévalués
Ils montent dans la vieille Oldsmobile
Et foncent dans la ville d'à côté
Pour écouter de la musique
Celle du grand Rufus Thibodeaux
Et pour repeupler l'Amérique
A la manière de grand-papa
Y a plus qu'ça qui ne change pas
Tous les Acadiens, toutes les Acadiennes
Vont chanter, vont danser sur le violon
Sont Américains, elles sont Américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
The song “Les acadiens” by Michel Fugain explores the cultural identity of Acadians living in Louisiana and Canada, and how they preserve their heritage through music. The lyrics describe how despite being separated geographically, the Acadians share a common language and heritage, and are connected through their love for Cajun music, played by musicians like Rufus Thibodeaux. The song references the Acadian people's roots, and their longing for the America that their ancestors had dreamt of.
The Acadians were forcibly deported from Canada by the British in the 18th century, and it is believed that the reference to "La faute à Napoléon" (the fault of Napoleon) in the song is a reference to his decision to sell Louisiana to the United States in the early 19th century. The lyrics highlight the harsh realities of working in the cotton fields and the struggles of day-to-day life, but also show how the Acadians find solace in music and dance, giving them a sense of community and connection to their heritage.
Overall, “Les acadiens” celebrates the resilience of the Acadian people, their love for their cultural practices, and their deep sense of community despite their displacement and the changes in the America they now call home.
Line by Line Meaning
Y a dans le sud de la Louisiane
In the south of Louisiana, there are
Et dans un coin du Canada
And in a corner of Canada,
Des tas de gars, des tas de femmes
Many men and women,
Qui chantent dans la même langue que toi
Who sing in the same language as you
Mais quand ils font de la musique
But when they make music,
C'est celle de Rufus Thibodeaux
It's the music of Rufus Thibodeaux
Ils rêvent encore de l'Amérique
They still dream of America
Qu'avait rêvée leur grand-papa
That their grandfather had dreamed of
Qui pensait peu, qui pensait pas
Who didn't think much or at all
Tous les Acadiens, toutes les Acadiennes
All the Acadians, all the Acadian women
Vont chanter, vont danser sur le violon
Will sing and dance to the violin
Sont Américains, elles sont Américaines
Are American, they are American
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Whose fault is it then, whose fault is it but Napoleon's
Le coton c'est doux, c'est blanc, c'est chouette
Cotton is soft, white, and cool
Pour s'mettre de la crème sur les joues
To put cream on their cheeks
Mais ceux qui en font la cueillette
But those who pick it
Finissent la journée sur les genoux
End the day on their knees
Et puis s'en vont faire d'la musique
And then go make music
Comme celle de Rufus Thibodeaux
Like the music of Rufus Thibodeaux
Pour oublier que l'Amérique
To forget that America
C'est plus celle de leur grand-papa
Is no longer the America of their grandfather
C'est bien changé depuis c'temps-là
It has changed a lot since then
Quand ils ont bossé six jours de suite
When they worked six days in a row
Pour une poignée d'dollars dévalués
For a devalued handful of dollars
Ils montent dans la vieille Oldsmobile
They get in the old Oldsmobile
Et foncent dans la ville d'à côté
And speed to the next town
Pour écouter de la musique
To listen to music
Celle du grand Rufus Thibodeaux
The music of the great Rufus Thibodeaux
Et pour repeupler l'Amérique
And to repopulate America
A la manière de grand-papa
In the way of their grandfather
Y a plus qu'ça qui ne change pas
There's not much else that hasn't changed
Lyrics © Universal Music Publishing Group
Written by: FUGAIN, MAURICE ALFRED MARIE VIDALIN
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
Coline D
Y a dans le sud de la Louisiane
Et dans un coin du Canada
Des tas de gars, des tas de femmes
Qui chantent dans la même langue que toi
Mais quand ils font de la musique
C’est celle de Rufus Thibodeaux
Ils rêvent encore de l’Amérique
Qu’avait rêvée leurs grands-papas
Qui pensaient peu qui pensaient pas
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Le coton c’est doux, c’est blanc c’est chouette
Pour s’mettre de la crème sur les joues
Mais ceux qui en font la cueillette
Finissent la journée sur les genoux
Et puis s’en vont faire d’la musique
Comme celle de Rufus Thibodeaux
Pour oublier que l’Amérique
C’est plus celle de leurs grands-papas
Ça a ben changé depuis c’temps-là
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Quand ils ont bossé six jours de file
Pour une poignée d’dollars dévalués
Ils montent dans la vieille Oldsmobile
Et foncent à la ville d’à côté
Pour écouter de la musique
Celle du grand Rufus Thibodeaux
Et pour repeupler l’Amérique
À la manière de grand-papa
Y a plus qu’ça qui ne change pas
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Julie lareau
J'ai vu ce spectacle à l'âge de 5 ans alors que la troupe était venu au Québec à Sherbrooke et mon papa avait acheté des billet pour toute la famille .
J'en ai 48 aujourd'hui et j'aime encore ça , ça viens me chercher .
tête In
les acadiens ces français nos cousins et cousines <3 <3..
Dr Do-Little
J'avais aussi 5 ans à l'époque mais jamais mon père m'aurais permis d'y assisté! 😄
Pierre Castello
Je vous adore
Martine Aube
J'aime bien, ça donne la pêche !! Bonjour à nos cousins canadiens
Coline D
Y a dans le sud de la Louisiane
Et dans un coin du Canada
Des tas de gars, des tas de femmes
Qui chantent dans la même langue que toi
Mais quand ils font de la musique
C’est celle de Rufus Thibodeaux
Ils rêvent encore de l’Amérique
Qu’avait rêvée leurs grands-papas
Qui pensaient peu qui pensaient pas
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Le coton c’est doux, c’est blanc c’est chouette
Pour s’mettre de la crème sur les joues
Mais ceux qui en font la cueillette
Finissent la journée sur les genoux
Et puis s’en vont faire d’la musique
Comme celle de Rufus Thibodeaux
Pour oublier que l’Amérique
C’est plus celle de leurs grands-papas
Ça a ben changé depuis c’temps-là
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
Quand ils ont bossé six jours de file
Pour une poignée d’dollars dévalués
Ils montent dans la vieille Oldsmobile
Et foncent à la ville d’à côté
Pour écouter de la musique
Celle du grand Rufus Thibodeaux
Et pour repeupler l’Amérique
À la manière de grand-papa
Y a plus qu’ça qui ne change pas
Tous les Acadiens toutes les Acadiennes
Vont sauter, vont danser sur le violon
Sont américains et elles sont américaines
La faute à qui donc, la faute à Napoléon
BabLau Lion
Spectacle vu en Belgique à Namur salle Omnisport de St Servais ...je suis encore fan ...1974...76 ...Merci à vous
Helios Thierry
Des années 70,ces années cultes retro c'est comme des souvenirs cachés au fond d'un tiroir cadenassé.
Mar 660
Apenas lo descubri y me gusto mucho
Leila Soltane
Très belle chorégraphie