Although Bruel aspired to be a football star as a youth, he decided to pursue singing after seeing Michel Sardou in 1975. His first success came as an actor, however, in 1979's Le Coup de sirocco. He continued acting in films, on television and in the theater while pursuing his singing career. His first single, "Vide" ("Empty"), released in 1982, was not a success, but the follow up, "Marre de cette nana-là" ("Fed up with that chick"), was a hit.
In 2003, he had his last name officially changed to Bruel-Benguigui, his stage name with his birthname, before his partner Amanda Maruani gave birth to his first child, Oscar, on August 19. On September 21, 2004, he wed the 24-year-old Maruani; it is his first marriage. His second child, Léon Bruel was born on the 28th September, 2005.
As of 2004 Bruel has acted in more than 40 different television and film productions and made five studio albums and several live albums. His last album to date is Entre Deux (2002), a double CD of classic chanson that features duets with Charles Aznavour, Jean-Louis Aubert, Jean-Jacques Goldman, Alain Souchon and Renaud, among others. It sold two million copies and made Bruel France's best paid singer of the year. At the beginning of 2005, in response to the South Asian tsunami of December 26, 2004, Bruel wrote the song "Et puis la terre" to benefit the Red Cross.
Maux d'enfants
Patrick Bruel Lyrics
Jump to: Overall Meaning ↴ Line by Line Meaning ↴
Tu allumes ton ordi, tu attends
Ils sont tous là, derrière l'écran
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Tu lis quand même, tu baisses la tête
Il faudra bien que ça s'arrête
Ces mots jetés, un peu pour voir
Derrière un clavier, va savoir
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Pour faire rire les autres avec lui
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
Sèche tes larmes, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
On répète ce que l'on entend
On cherche sa place dans le vent
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
Pour une fille, qui leur dit non
Pour un garçon qui aime un garçon
Pour une petite phrase à la con
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Il n'y a pas que les ballons qui volent
Il n'y a pas que des jeux drôles
Qui est minable, qui est cador
Pour un blouson, ou un portable
C'est si facile de mettre à mort
Lève la tête, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi
(Yeah, Fouiny Babe, yeah)
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Pourquoi, demande leur
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
Lève la tête, parle, je t'entends
Change le sens du vent
La haine se glisse, dans les bagages
A l'âge des livres d'images
(Yeah, comment lever la tête de mon clavier?)
Sèche tes larmes, regarde-moi
(T'as qu'à ouvrir un compte si tu veux parler)
Tellement d'entre-mots pour toi
(Papa j'ai plus trop le temps, je suis connecté)
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
(Je suis tranquille dans ma chambre, tu sais bouger)
Nul part, si tu n'en parles pas
The song "Maux d'enfants" by Patrick Bruel is about the effects of cyberbullying, which is a phenomenon that has become increasingly prevalent in today's world. The lyrics describe a scenario where someone comes home early and logs onto their computer, only to be bombarded by hurtful comments from anonymous strangers on the internet. These comments are directed at them for no apparent reason and are designed to cause pain and suffering. The song highlights how easy it is for people to hide behind the anonymity of the internet and say things that they would never say in person.
The lyrics talk about how cyberbullying is affecting children and how even the slightest comment on social media or other platforms can have devastating effects on their mental health. The song references the various forms of cyberbullying, including comments and messages that are designed to cause pain and harm, such as the ones that tell someone to take their own life.
The song emphasizes how important it is to take a stand and speak out against this type of behavior. It urges people to not be silent bystanders and to take action to stop cyberbullying. The lyrics also show the impact that cyberbullying can have on families and friends, who are left to pick up the pieces and console those who have been targeted.
Overall, "Maux d'enfants" is a powerful and moving song that sheds light on a very important issue. It highlights the importance of taking action against cyberbullying and standing up for those who are being targeted.
Line by Line Meaning
Tu rentres tôt, plus tôt qu'avant
You come home early, earlier than before
Tu allumes ton ordi, tu attends
You turn on your computer and wait
Ils sont tous là, derrière l'écran
They are all there, behind the screen
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Once again, it's not your day
Tu lis quand même, tu baisses la tête
You still read, you lower your head
Il faudra bien que ça s'arrête
It must come to an end
Ces mots jetés, un peu pour voir
These words thrown out, just to see
Derrière un clavier, va savoir
Behind a keyboard, who knows
Quel enfant sage prend le pouvoir
What wise child takes the power
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Alone in his room, a kid laughs
Pour faire rire les autres avec lui
To make others laugh with him
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
And today it falls on you
Sèche tes larmes, regarde-moi
Dry your tears, look at me
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
I hurt even more than you when your eyes ask me 'Why?'
On répète ce que l'on entend
We repeat what we hear
On cherche sa place dans le vent
We search for our place in the wind
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
But they're just children's woes
Pour une fille, qui leur dit non
For a girl, who says no to them
Pour un garçon qui aime un garçon
For a boy who loves another boy
Pour une petite phrase à la con
For a stupid little phrase
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Because in the middle of a schoolyard
Il n'y a pas que les ballons qui volent
It's not just the balloons that fly
Il n'y a pas que des jeux drôles
There aren't only fun games
Qui est minable, qui est cador
Who's a loser, who's a winner
Pour un blouson, ou un portable
For a jacket, or a phone
C'est si facile de mettre à mort
It's so easy to kill
Lève la tête, regarde-moi
Lift your head, look at me
J'ai encore plus mal que toi
I hurt even more than you
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
We run into them by the dozen, the virtual thugs
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
The young ones are 13 years old, already want to be sensual
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
The walls no longer have ears, they have Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
And we play the game of who will be the cruelest
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
The comments cry for help, sometimes the words are tears
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
Keyboards shoot, computers are weapons
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
'Mom, I'm staying in my room,
Mom, I'm not that hungry,
Mom, I hurt but it's short like a chorus'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Online meetings, you don't even know who you're seeing
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Messages are private, no need to strain your voice
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
I love you with a text and I miss you with an email
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
You liked me on Twitter and broke up with me via BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
When I was little, we didn't have computers
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
We stayed playing soccer and talked for hours
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
You're alone in front of the screen, even on holidays
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Tell me who you surf with, and I'll tell you who you treat
Pourquoi, demande leur
Why, they ask
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
They don't know, they think they're playing like grown-ups
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
To other wars, to other children's games
Lève la tête, parle, je t'entends
Lift your head, speak, I hear you
Change le sens du vent
Change the direction of the wind
La haine se glisse, dans les bagages
Hate slips into the baggage
A l'âge des livres d'images
At the age of picture books
Sèche tes larmes, regarde-moi
Dry your tears, look at me
Tellement d'entre-mots pour toi
So many unspoken words for you
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
When your eyes ask 'Why?'
Nul part, si tu n'en parles pas
Nowhere, if you don't talk about it
Lyrics © Universal Music Publishing Group
Written by: LAOUNI MOUHID, MARIE FLORENCE GROS, PATRICK BRUEL, ROMAN CHELMINSKI
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
Audrey Fumoux
Tu rentres tôt, plus tôt qu'avant
Tu allumes ton ordi, tu attends
Ils sont tous là, derrière l'écran
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Tu lis quand même, tu baisses la tête
Il faudra bien que ça s'arrête
Ces mots jetés, un peu pour voir
Derrière un clavier, va savoir
Quel enfant sage prend le pouvoir
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Pour faire rire les autres avec lui
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
Sèche tes larmes, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
On répète ce que l'on entend
On cherche sa place dans le vent
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
Pour une fille, qui leur dit non
Pour un garçon qui aime un garçon
Pour une petite phrase à la con
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Il n'y a pas que les ballons qui volent
Il n'y a pas que des jeux drôles
Qui est minable, qui est cador
Pour un blouson, ou un portable
C'est si facile de mettre à mort
Lève la tête, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi
(Yeah, Fouiny Babe, yeah)
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Pourquoi, demande leur
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
Lève la tête, parle, je t'entends
Change le sens du vent
La haine se glisse, dans les bagages
A l'âge des livres d'images
(Yeah, comment lever la tête de mon clavier?)
Sèche tes larmes, regarde-moi
(T'as qu'à ouvrir un compte si tu veux parler)
Tellement d'entre-mots pour toi
(Papa j'ai plus trop le temps, je suis connecté)
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
(Je suis tranquille dans ma chambre, tu sais bouger)
Nul part, si tu n'en parles pas
Emi lie
Tu rentres tôt, plus tôt qu'avant
Tu allumes ton ordi, tu attends
Ils sont tous là, derrière l'écran
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Tu lis quand même, tu baisses la tête
Il faudra bien que ça s'arrête
Ces mots jetés, un peu pour voir
Derrière un clavier, va savoir
Quel enfant sage prend le pouvoir
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Pour faire rire les autres avec lui
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
Sèche tes larmes, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
On répète ce que l'on entend
On cherche sa place dans le vent
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
Pour une fille, qui leur dit non
Pour un garçon qui aime un garçon
Pour une petite phrase à la con
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Il n'y a pas que les ballons qui volent
Il n'y a pas que des jeux drôles
Qui est minable, qui est cador
Pour un blouson, ou un portable
C'est si facile de mettre à mort
Lève la tête, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi
(Yeah, Fouiny Babe, yeah)
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Pourquoi, demande leur
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
Lève la tête, parle, je t'entends
Change le sens du vent
La haine se glisse, dans les bagages
A l'âge des livres d'images
(Yeah, comment lever la tête de mon clavier?)
Sèche tes larmes, regarde-moi
(T'as qu'à ouvrir un compte si tu veux parler)
Tellement d'entre-mots pour toi
(Papa j'ai plus trop le temps, je suis connecté)
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
(Je suis tranquille dans ma chambre, tu sais bouger)
Nul part, si tu n'en parles pas
Julien Beaudelot
Génial, j'ai vraiment adoré ce clip ainsi que la chanson qui m'a beaucoup parlé.
Vraiment, je suis en adoration devant le chant incroyable de M. Bruel qui réalise une excellente prestation.
Néanmoins cependant par la même occasion, je tenais à signaler l'incroyable (également) prestation de La Fouine qui nous délivre l'un de ses plus beaux textes.
Dans ce clip réalisé par des professionnels, il est par contre malheureux de ne pas voir le visage du rappeur (cité ci-dessus) qui aurait pu être l'un de ces enfants au parcours difficile mais toujours pavé de jalons bénéfiques.
Mon commentaire, finalement, est très sérieux, je demanderais à toutes les personnes sensées de bien vouloir le plussoyer. Je vous emmerde amicalement.
Signé Jean Pierre Koff.
Au revoir.
CDLT
Joëlle JULLIEN
Tu rentres tôt, plus tôt qu'avant
Tu allumes ton ordi, tu attends
Ils sont tous là, derrière l'écran
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Tu lis quand même, tu baisses la tête
Il faudra bien que ça s'arrête
Ces mots jetés, un peu pour voir
Derrière un clavier, va savoir
Quel enfant sage prend le pouvoir
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Pour faire rire les autres avec lui
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
Sèche tes larmes, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
On répète ce que l'on entend
On cherche sa place dans le vent
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
Pour une fille, qui leur dit non
Pour un garçon qui aime un garçon
Pour une petite phrase à la con
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Il n'y a pas que les ballons qui volent
Il n'y a pas que des jeux drôles
Qui est minable, qui est cador
Pour un blouson, ou un portable
C'est si facile de mettre à mort
Lève la tête, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi
(Yeah, Fouiny Babe, yeah)
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Pourquoi, demande leur
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
Lève la tête, parle, je t'entends
Change le sens du vent
La haine se glisse, dans les bagages
A l'âge des livres d'images
(Yeah, comment lever la tête de mon clavier?)
Sèche tes larmes, regarde-moi
(T'as qu'à ouvrir un compte si tu veux parler)
Tellement d'entre-mots pour toi
(Papa j'ai plus trop le temps, je suis connecté)
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
(Je suis tranquille dans ma chambre, tu sais bouger)
Nul part, si tu n'en parles pas7
Maryna Fernandes
J’ai découvert cette musique en histoire au collège et elle m’a fait tellement réfléchir, un ami qui harceler un garçon qui était gay je ne disais rien mais en ayant écouter cette musique à plusieurs reprise j’ai pris les choses en main et je regrette absolument pas !
Marcy autiste et geek
Stop, le harcèlement. Même aujourd'hui, on se moque de moi car je suis autiste et les autres n'arrivent pas à me faire confiance juste pour ça. Je me sociabilise pourtant du mieux que je peux. C'est les harceleurs, les fautifs, pas vous. Ne vous suicidez pas, résistez, même si c'est dur et battez-vous pour vivre. La vie finit toujours par vous sourire, malgré des moments très compliqués. Croyez-moi, je sais de quoi je parle. J'ai bien failli arrêter l'école à 6 ans, mais des psy m'ont aidé à poursuivre ma scolarité et aujourd'hui, je suis en 2nde année de BTS. Je suis ce que je suis, point. Arrêtez de vous laissez mener, prouvez aux harceleurs qu'ils ont tort et sont fermés d'esprit et vous serez en paix avec vous-mêmes. Je vous remercie de votre attention.
nana Peters fargima
Courage tu est forte
Johana Brunet
Félicitations ma grande ta bcp de courage
Diwan -
Mec ton commentaire est tellement mature je sais pas se que c'est exactement etre autiste mais je pense les gens te harcelais pzs pour ce que t'etais mais juste parce que ils voyaient que le mot "autiste"
léon.
merci Odile pour ce message remplit de sincérité 🙏
Et merci à La Fouine et Patrick pour cette belle chanson remplit d'espoir 😘
Falala Fishstick
Bien dit mon pote
Audrey Fumoux
Tu rentres tôt, plus tôt qu'avant
Tu allumes ton ordi, tu attends
Ils sont tous là, derrière l'écran
Cette fois encore, c'est pas ta fête
Tu lis quand même, tu baisses la tête
Il faudra bien que ça s'arrête
Ces mots jetés, un peu pour voir
Derrière un clavier, va savoir
Quel enfant sage prend le pouvoir
Seul dans sa chambre, un gamin rit
Pour faire rire les autres avec lui
Et ça tombe sur toi aujourd'hui
Sèche tes larmes, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi quand tes yeux me demandent 'Pourquoi?'
On répète ce que l'on entend
On cherche sa place dans le vent
Mais ce ne sont que des maux, d'enfants
Pour une fille, qui leur dit non
Pour un garçon qui aime un garçon
Pour une petite phrase à la con
Parce qu'au milieu, d'une cour d'école
Il n'y a pas que les ballons qui volent
Il n'y a pas que des jeux drôles
Qui est minable, qui est cador
Pour un blouson, ou un portable
C'est si facile de mettre à mort
Lève la tête, regarde-moi
J'ai encore plus mal que toi
(Yeah, Fouiny Babe, yeah)
Et on les croise à la pelle, les voyous virtuels
Les petites ont 13 piges, veulent déjà être sensuelles
Les murs n'ont plus d'oreilles ils ont Bluetooth ADSL
Et on joue au jeu de celui qui sera le plus cruel
Les commentaires appellent au secours, parfois les mots sont des larmes
Les claviers ça tire, les ordis sont des armes
'Maman je reste dans ma chambre,
Maman j'ai pas trop faim,
Maman j'ai fait souffrir mais c'est court comme un refrain'
Rencontres sur le net, tu sais même plus qui tu vois
Privés sont les messages, plus besoin de se casser la voix
Je t'aime par SMS et tu me manques par e-mail
Tu m'as kiffé sur Twitter et t'as rompu par BBM
Moi quand j'étais petit on avait pas d'ordinateur
On restait jouer au foot et on parlait pendant des heures
Toi t'es seul devant l'écran, et même les jours de fête
Dis-moi avec qui tu surfes, je te dirai qui tu traites
Pourquoi, demande leur
Ils ne savent pas, ils croient jouer comme les grands
A d'autres guerres, à d'autres jeux d'enfants
Lève la tête, parle, je t'entends
Change le sens du vent
La haine se glisse, dans les bagages
A l'âge des livres d'images
(Yeah, comment lever la tête de mon clavier?)
Sèche tes larmes, regarde-moi
(T'as qu'à ouvrir un compte si tu veux parler)
Tellement d'entre-mots pour toi
(Papa j'ai plus trop le temps, je suis connecté)
Quand tes yeux demandent 'Pourquoi?'
(Je suis tranquille dans ma chambre, tu sais bouger)
Nul part, si tu n'en parles pas
@Diaz Lopez
@Marcy autiste et geek
Patrick Bruel a violé des femmes le froteur de metro
Audrey Fumoux
@Volroad yup