He spent a long part of his childhood in the café which his parents owned, where he learned work jargon and slang. At the age of 14 he signed up to the conservatoire de musique de Toulouse and to a dramatic arts institute. In the mean time, he set up his first band of 4 musicians in his own name, with whom he played at events throughout the region. In 1957, he was snapped up by Eddie Barclay who signed him on. It was in the studio of Barclay where he met his future wife, Simone Mazaltarim.
In 1958 Perret carried on touring round Parisian cabaret bars and crossed France and Africa as a part of the American group, The Platters. In Novemeber that year, a pleurisy forced him to take two years off in a sanatorium.
A master of the subtleties of the French language and French slang (he even rewrote some of Jean de La Fontaine's fables), his songs are often cheeky (for example Le zizi (The willy)) , asking questions in a seemingly naive child's tone, but has written more serious political songs, such as La bête est revenue, La petite kurde, Vert de Colère ou Lily.
La Petite
Pierre Perret Lyrics
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Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
C'est un animal délicieux et plein d'ardeur
Qui sait trouver le truc qui vous plaira
Dès que la bonne a nettoyé le parquet pendant trois heures
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
C'est une enfant douce et délicate qui nous touche
Elle a un fond très respectueux
Et lorsqu'elle attache sa grand-mère sous la douche
Elle ouvre en meme temps la radio s'y a une émission pour les vieux
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
C'est une enfant rigolote c'est pas une sainte-nitouche
Avec ca pas méchante pour deux sous
Elle n'arrache pas sauvagement les ailes des pauvres mouches
Elle les avale toutes vivantes elle adore ca ca la chatouille
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
Notre vieille hypocrite de tante Irma vint déclarer
Cette gosse finira sur le trottoir
Mais la chère enfant lui répondit d'un air de pitié
Oh! toi la ferme avec ta gueule à bloquer les roues d'corbillard
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
Si vous venez un jour comme ca betement à la maison
Craignez rien mais lui tournez pas le dos
Car si par malheur vous avez oublié les bonbons
Vous seriez le premier qui résiste à l'eau de javel dans le porto
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Quand la petite petite commande commande
On se tait
The song "La Petite" by Pierre Perret tells the story of a young girl, referred to as "la petite" throughout the song, and her powerful presence within her family. The chorus of the song emphasizes how the little girl always gets her way, and everyone else around her follows her commands without question. The verses describe the girl's actions, which are often mischievous, but never malicious. For example, she gives her cats medicine after the maid cleans the floor, and ties up her grandmother in the shower while listening to a radio show for the elderly.
Throughout the song, the singer highlights the unique qualities of this young girl, which sets her apart from other children. Her ability to amuse herself with swallowing living flies, and her confidence in speaking up to an elderly relative who criticizes her, demonstrate her independent spirit. The song ends with a warning to anyone who encounters her, implying that she is a force to be reckoned with.
Overall, "La Petite" is a whimsical and light-hearted song that celebrates the unpredictable and powerful nature of children.
Line by Line Meaning
Ce que la petite petite décide décide
Elle le fait
Whatever the little girl decides, she does it without hesitation
Quand la petite petite commande commande
On se tait
When the little girl commands, everyone obeys
C'est un animal délicieux et plein d'ardeur
Qui sait trouver le truc qui vous plaira
Dès que la bonne a nettoyé le parquet pendant trois heures
Elle donne une purge à nos trois chats pour voir un peu ce que ça donnera
She is a delightful and enthusiastic creature that knows how to find what will please you. As soon as the maid has cleaned the floor for three hours, she gives our three cats a laxative just to see what happens
C'est une enfant douce et délicate qui nous touche
Elle a un fond très respectueux
Et lorsqu'elle attache sa grand-mère sous la douche
Elle ouvre en même temps la radio s'y a une émission pour les vieux
She is a gentle and delicate child that touches our hearts. She has a very respectful nature. And when she ties up her grandmother in the shower, she also turns on the radio to a program for the elderly
C'est une enfant rigolote c'est pas une sainte-nitouche
Avec ça pas méchante pour deux sous
Elle n'arrache pas sauvagement les ailes des pauvres mouches
Elle les avale toutes vivantes elle adore ça ça la chatouille
She is a funny child, not a goody-two-shoes, but still not at all mean. She doesn't pull off the wings of poor flies, she swallows them alive because she loves it, it tickles her
Notre vieille hypocrite de tante Irma vint déclarer
Cette gosse finira sur le trottoir
Mais la chère enfant lui répondit d'un air de pitié
Oh, toi la ferme avec ta gueule à bloquer les roues d'corbillard
Our old hypocritical Aunt Irma came to declare that this girl would end up on the street. But the dear child replied with a disdainful look, 'Oh, shut up with your mouth that could stop a hearse'
Si vous venez un jour comme ça bêtement à la maison
Craignez rien mais lui tournez pas le dos
Car si par malheur vous avez oublié les bonbons
Vous seriez le premier qui résiste à l'eau de javel dans le porto
If you come foolishly to our house one day, fear nothing but don't turn your back on her. Because if by chance you forget the candy, you'll be the first to resist the bleach in the port wine
Lyrics © WARNER CHAPPELL MUSIC FRANCE
Written by: Perret Pierre
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
@257Yogi
Je n'avais comme souvenir des chanson de ce Monsieur que quelques ritournelles mi acerbes, mi humoristiques. Je redécouvre aujourd'hui son oeuvre après avoir été titillé par ses derniers textes sur le covid et je tombe sur celle-là.........
Je ne me considère plus come sensible depuis longtemps, mon rire, ironique, aigre ou jaune, résonne bien plus souvent que mes larmes tombant au sol, mais là... en écoutant pareil texte... bizarrement, la rivière sort a nouveau de son lit. Moi qui la croyait tarie...
Mise en musique et poésie magistrale de ce que ma grand-mere m'a toujours raconté de son enfance, d'avant même ses 10 ans...
La chanson est magnifique, mais aussi criante de douleur et de vérité. L'écouter est autant un plaisir qu'une douleur.
Merci. Merci M.Perret, d'amuser les petits tout en faisant réfléchir les grands. Vous serez, comme d'autres avant vous, à qui la vie n'a malheureusement prêté la même longévité, une figure immortelle de ma vie.
@wiodoudou
Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclot
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implorait la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des œillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en m'éloignant
Du ciel de Babylone
J'ai compris que je n'avais plus personne.
N'écoute pas les fous qui nous ont dit
La liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?
Petite, si tu es kurde, il faut partir
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot !
@patou-ah
« Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j’ai connu ton sort
J’ai tutoyé la mort
On n’a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison
Aux murs, y avait de l’ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C’était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s’effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclôt
La fleur d’un géranium
Dernier hommage qu’elle ait reçu d’un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implorait la pitié de ses bourreaux
J’entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s’est endeuillé
Les obus éclataient comme des œillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n’y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l’horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s’éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n’avais plus personne.
N’écoute pas les fous qui nous ont dit
Qu’ la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d’armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c’est pour l’argent
Que l’on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie :
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?
Petite, si tu es kurde, il faut partir :
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot…
Là-bas ils ne tuent les gens qu’au boulot ! »
@pat12cordes
La petite kurde
Pierre Perret
Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclot
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des œillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s'éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n'avais plus personne.
N'écoute pas les fous qui nous ont dit
Qu' la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?
Petite, si tu es kurde, il faut partir
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot !
@laurentpotelle8036
"PETITE KURDE"
Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son coeur éclôt
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des oeillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s'éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n'avais plus personne.
N'écoute pas les fous qui nous ont dit
Qu' la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie :
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?
Petite, si tu es kurde, il faut partir :
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot...
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot !
Pierre Perret
@dersuuzala99
La petite kurde , Pierre Perret
"Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclot
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des œillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s'éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n'avais plus personne.
N'écoute pas les fous qui nous ont dit
Qu' la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?
Petite, si tu es kurde, il faut partir
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot ! "
@arramyevelyne6535
Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclot
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient…
@FAYCAL239
La petite kurde
Pierre Perret
Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son cœur éclot
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient…
@257Yogi
Je n'avais comme souvenir des chanson de ce Monsieur que quelques ritournelles mi acerbes, mi humoristiques. Je redécouvre aujourd'hui son oeuvre après avoir été titillé par ses derniers textes sur le covid et je tombe sur celle-là.........
Je ne me considère plus come sensible depuis longtemps, mon rire, ironique, aigre ou jaune, résonne bien plus souvent que mes larmes tombant au sol, mais là... en écoutant pareil texte... bizarrement, la rivière sort a nouveau de son lit. Moi qui la croyait tarie...
Mise en musique et poésie magistrale de ce que ma grand-mere m'a toujours raconté de son enfance, d'avant même ses 10 ans...
La chanson est magnifique, mais aussi criante de douleur et de vérité. L'écouter est autant un plaisir qu'une douleur.
Merci. Merci M.Perret, d'amuser les petits tout en faisant réfléchir les grands. Vous serez, comme d'autres avant vous, à qui la vie n'a malheureusement prêté la même longévité, une figure immortelle de ma vie.
@etienneetienne9054
Un texte et une mélodie d'une beauté absolue, pour des horreurs absolues. Et hélas toujours aussi actuelles. Merci Pierrot l'intemporel.
@aliceencuisine4736
Grâce à ma mère qui t'écouais petite je te connais j'adore tes chancon c'est merveilleux et oui j'ai des origines kurde et français
@bonbondesel
Une des plus magnifique chanson de toute la chanson française.
Une des plus belles chansons que je connais.
Juste, vrai et profonds.
Du Pierre Perret quoi !
@sinocelt
L'une de mes chansons préférées. L'une des rares qui m'ait fait pleurer.
@ninoscalettin2834
Je pleure sur la souffrance des femmes et des hommes de bien.
@thierryriou5063
Quelle merveille que cet homme, une émotion, une beaut´dans vos musiques bouleversante. Dans la force de vos paroles. Merveilleux monsieur Pierre Perret.
Merci pour tout.
Merci de vos musiques comme Lily, la petite Kurde et toutes ces chaleurs partagées
@dagostinoification
Quelle belle chanson ! Je vous adore depuis mon enfance Cher Pierre , des chansons humoristiques aux plus dramatiques , on retrouve votre esprit de poète ( l'ancien prof de batterie du fils de Gilou , ex Rhoda Scott , Hervé Christiani et batteur de bien d'autres Artistes pour qui j'ai un profond respect.) longue vie à vous l'Artiste !
@christianehopkinson1100
Malheureusement toujours d'actualité. Monsieur Pierre Perret merci infiniment
@claudecaudron9550
Ce n'est pas une chanson,c'est un MONUMENT !!!!!!! Merci Mr Perret ,continuez !!!!!!