Vie de Merde
Justin(e) Lyrics


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Avec Citroën fini les problèmes
Avec Banania fini l'omerta.
Et pour sauver l'économie, dixit Eisenhower,
" Il faut acheter, acheter n'importe quoi!"

Pourquoi pas s'isoler dans des figures personnelles,
Encore plus privées, encore plus humaines,
Rêver modernité, gloire individuelle
Et se sentir enfin heureux et libre, dans Le Bien le plus chère.
Les communards tués jusqu'au dernier pour que toi aussi tu puisses enfin hériter…

Des milliards de millions se promènent
Et sans partage ordonnent la vie dans l'arène
Et en cadeau bonus, moins de haine que de mépris,
De désir que d'envie, de raison que de calcul.
A nos pieds les états nous ramènent
Des corps immatriculés, réclame d'autorité,
Et en cadeau bonus, les producteurs de perdant
Vous offrent tout leur mépris et des chèques restaurants

Non, rien est gratuit même le plus essentiel,
Qui saura renoncer à son droit de propriété,
A tout ses logements vides quatorze mois dans l'année,
A toutes ses prisons pleines de bureaucrates affamés!

De combien de pillages dépendent nos démocraties
Et Bruckner qui voudrait ne pas culpabiliser.
Au prochain épisode on va savoir enfin
Qui a tué la vie et la honte d'être un homme.
Lucifer ou Saint Paul?
Le Christ ou Leclerc? Danone ou Force Ouvrière?
On a retrouvé du sperme sur l'oreiller

Des milliards de millions se promènent
Et sans partage ordonnent la vie dans l'arène
Et en cadeau bonus, moins de haine que de mépris,
De désir que d'envie, de raison que de calcul.
A nos pieds les états nous ramènent
Des corps immatriculés, réclame d'autorité,
Et en cadeau bonus, les producteurs de perdant
Vous offrent tout leur mépris et des chèques restaurants

Et en cadeau bonus:
Une belle grosse vie de merde,
Une belle bonne grosse vie de merde,
Une belle bonne grosse vie de merde,




Une belle bonne grosse vie de merde,
Une belle bonne grosse vie de merde.

Overall Meaning

The song "Vie de Merde" by Justin(e) reflects on the struggles of living in a capitalist society where money rules all. The lyrics start off by stating that with a Citroen car and Banania, a brand of hot chocolate, all problems will be solved. This is followed by a quote from Eisenhower, suggesting that the key to saving the economy is to buy anything and everything. The lyrics then suggest that maybe one should isolate oneself and focus on personal achievements and glory. However, the cost of such individualistic pursuits is the sacrifice of communal values.


The song then goes on to criticize the power dynamics of society, where a few individuals hold all the wealth and control over everyone else. The gift we receive from them is not love or passion, but instead, contempt and living in a world where everything is calculated. The lyrics also suggest that our democracies depend on pillage and exploitation. Finally, the song ends with the refrain "A belle bonne grosse vie de merde," meaning "a beautiful, good, big life of shit," highlighting the irony that all of our pursuits of wealth and success lead to a life of misery and dissatisfaction.


Line by Line Meaning

Avec Citroën fini les problèmes
Using a Citroën will solve all of our problems


Avec Banania fini l'omerta.
Using Banania will end our silence on issues


Et pour sauver l'économie, dixit Eisenhower, " Il faut acheter, acheter n'importe quoi!"
To save the economy, Eisenhower said we must buy anything and everything.


Pourquoi pas s'isoler dans des figures personnelles, Encore plus privées, encore plus humaines, Rêver modernité, gloire individuelle Et se sentir enfin heureux et libre, dans Le Bien le plus chère.
Why not isolate ourselves and create personal and private images, dream of modernity and individual glory to feel happy and free, in our most valued possessions.


Les communards tués jusqu'au dernier pour que toi aussi tu puisses enfin hériter…
The communards were killed off so that we may inherit their legacy.


Des milliards de millions se promènent Et sans partage ordonnent la vie dans l'arène Et en cadeau bonus, moins de haine que de mépris, De désir que d'envie, de raison que de calcul. A nos pieds les états nous ramènent Des corps immatriculés, réclame d'autorité, Et en cadeau bonus, les producteurs de perdant Vous offrent tout leur mépris et des chèques restaurants
Billions control our lives, showing no mercy or love. Instead, hate and contempt is given, along with desires, reasoning, and calculating. The governments bring us registered bodies that demand authority, and as a bonus, the losers of society offer us their hatred and gift cards for restaurants.


Non, rien est gratuit même le plus essentiel, Qui saura renoncer à son droit de propriété, A tout ses logements vides quatorze mois dans l'année, A toutes ses prisons pleines de bureaucrates affamés!
Nothing is free, even the most important things. Who will give up their property rights, empty homes that sit vacant for 14 months out of the year, and prisons full of hungry bureaucrats?


De combien de pillages dépendent nos démocraties Et Bruckner qui voudrait ne pas culpabiliser. Au prochain épisode on va savoir enfin Qui a tué la vie et la honte d'être un homme. Lucifer ou Saint Paul? Le Christ ou Leclerc? Danone ou Force Ouvrière? On a retrouvé du sperme sur l'oreiller
How many plunderings do our democracies depend on? Bruckner does not want to feel guilt. In the next episode, we will finally know who killed life and the shame of being a man. Was it Lucifer, Saint Paul, Christ, Leclerc, Danone, or Force Ouvrière? We found semen on the pillow.


Et en cadeau bonus: Une belle grosse vie de merde, Une belle bonne grosse vie de merde, Une belle bonne grosse vie de merde, Une belle bonne grosse vie de merde, Une belle bonne grosse vie de merde.
As an added bonus, we have a beautiful, big, and shitty life.




Contributed by Parker J. Suggest a correction in the comments below.
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Comments from YouTube:

lahoyasrha

J'adore cette chanson !

Mr. Snrub

Le mieux bassiste du punk-rock modern!

Lucas Moreel

Je chante cette chanson à tue-tête en marchant bourré dans ma ville. Ultime.

Bleu

Ma préférée :D

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