Marlene was known in school for her "bedroom eyes" and her first affairs were at this stage in her life - a professor at the school was terminated.
Marlene enjoyed music and attended concerts. She was adept at playing the violin and piano. By the time she was in her mid-teens, Marlene had discovered the stage. Acting was to be her vocation. In 1921, Marlene applied for an acting school run by Max Reinhardt. She was accepted. She appeared in several stage productions, but never had more than a couple of spoken lines. In short, she wasn't setting the stage world on fire.
She attempted films for the first time in 1922 Her first film was So sind die Männer (The Little Napoleon) (1923) which was followed by Tragödie der Liebe (Love Tragedy) (1923). On this last project, she met Rudolf Sieber and married him in 1924. The union lasted until his death in 1976 although they didn't live together the whole time.
The remainder of her early film career was generally filled with bit roles. After being seen in the German production of Der blaue Engel (The Blue Angel) (1930) in 1930, Marlene was given a crack at Hollywood. Her first US film was Morocco (1930) with Gary Cooper, which was followed by Dishonored (1931). This latter movie had her cast as a street walker who is appointed a spy. The film was rather boring but was a success because of Marlene's presence. In 1932, Marlene filmed Shanghai Express (1932) which proved to be immensely popular, grossing $3 million. Once again, she was cast as a prostitute. The next film was Blonde Venus (1932) which turned out to be a horrible production. Her co-star was Cary Grant and once again she was cast as a prostitute.
During this period Dietrich had been typecast as a woman of low morals and she wanted different parts. Her chance came in 1939 in Destry Rides Again (1939) when she was cast as "Frenchy", a Western saloon hostess. This began a new direction for Marlene since it shed the previous typecasting. All through the 1940s, she appeared in well-produced, well-directed films such as Manpower (1942), The Spoilers (1942), The Lady Is Willing (1942) and Pittsburgh (1942).
Afterwards the roles came less frequently, perhaps one to two films every year. In 1945, Marlene didn't appear in any. She only made seven productions in the 1950's. Her last role of any substance was Judgment at Nuremberg (1961). Despite the lack of theatrical roles, Marlene still made appearances on the stage. However, by 1979, she was a shell of her former self. After breaking her leg in one performance, she never made a go of it in show business again.
Spending the last 12 years of her life bed-ridden, Marlene died on May 6, 1992 in Paris, France of kidney failure at the age of 90.
Où Vont Les Fleurs
Marlene Dietrich Lyrics
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Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé?
Quand à la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous un jour?
Qui peut dire où vont les filles du temps qui passe?
Qui peut dire où sont les filles du temps passé?
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les garçons du temps qui passe?
Mais où sont les garçons du temps passé?
Lorsque le tambour roula, se sont faits petits soldats,
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les soldats du temps qui passe?
Mais où sont tous les soldats du temps passé?
Sont tombés dans les combats, et couchés dessous leur croix,
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous un jour?
Il est fait de tant de croix, le temps qui passe,
Il est fait de tant de croix, le temps passé,
Pauvres tombes de l′oubli, les fleurs les ont envahies,
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous un jour?
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé?
Quand à la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
Quand saurons-nous un jour,
Quand saurons-nous... jamais?
The lyrics of Marlene Dietrich's song Où Vont Les Fleurs (Where Have All the Flowers Gone?) explores the themes of time's passing and fleeting beauty. The song begins with a question of where do the flowers of time go as they fade away, as well as where the girls who picked them have gone. The lyrics progress to a reflection on the passage of time, the inevitability of war and death, and how those who once lived and loved have been forgotten.
The first verse deals with the beauty of youth and the ephemeral nature of life. The image of the young girls picking flowers in the season of beauty speaks to the transient nature of youthful beauty and the fleeting moments of happiness that come with it. The second verse touches on the themes of love, romance and what happens to the young women who become romantically involved with young men who go to war. The third verse explores the theme of war and its devastating toll on young people's lives. The fourth verse depicts the sad reality of dead soldiers whose resting places are now just forgotten, overgrown tombs.
The repetition of the chorus at the beginning and end of the song, "quand saurons nous un jour?" (when will we ever know?), speaks to the unanswerable questions of life and death, and the futility of trying to understand the mysteries of existence. This theme of unending questions and unanswerable mysteries is one of the most prominent aspects of the song.
Line by Line Meaning
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe?
Who can say where the flowers of time gone go?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé?
Who can say where the flowers of time passed are?
Quand à la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
When in the pretty season, the young girls picked them,
Quand saurons-nous un jour,
When will we ever know,
Qui peut dire où vont les filles du temps qui passe?
Who can say where the girls of time gone go?
Qui peut dire où sont les filles du temps passé?
Who can say where the girls of time passed are?
Quand va le temps des chansons, se sont données aux garçons,
When the time of songs came, they gave themselves to the boys,
Mais où vont tous les garçons du temps qui passe?
But where do all the boys of time gone go?
Mais où sont les garçons du temps passé?
But where are the boys of time passed?
Lorsque le tambour roula, se sont faits petits soldats,
When the drum rolled, they became little soldiers,
Mais où vont tous les soldats du temps qui passe?
But where do all the soldiers of time gone go?
Mais où sont tous les soldats du temps passé?
But where are all the soldiers of time passed?
Sont tombés dans les combats, et couchés dessous leur croix,
They fell in combat, and lay under their cross,
Il est fait de tant de croix, le temps qui passe,
The time gone is made of so many crosses,
Il est fait de tant de croix, le temps passé,
The time passed is made of so many crosses,
Pauvres tombes de l′oubli, les fleurs les ont envahies,
Poor graves of forgetfulness, the flowers have invaded them,
Quand saurons-nous un jour,
When will we ever know,
Quand saurons-nous... jamais?
When will we ever know... never?
Writer(s): Peter Seeger
Contributed by Kennedy J. Suggest a correction in the comments below.
Margareth Houghton
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé?
Quand à la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Qui peut dire où vont les filles du temps qui passe?
Qui peut dire où sont les filles du temps passé?
Quand va le temps des chansons, se sont données aux garçons,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les garçons du temps qui passe?
Mais où sont les garçons du temps passé?
Lorsque le tambour roula, se sont faits petits soldats,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les soldats du temps qui passe?
Mais où sont tous les soldats du temps passé?
Sont tombés dans les combats, et couchés dessous leur croix,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Il est fait de tant de croix, le temps qui passe,
Il est fait de tant de croix, le temps passé,
Pauvres tombes de l'oubli, les fleurs les ont envahies,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé?
Quand à la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous... jamais?
Loreto Solís
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe ?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé ?
Quand va la saison jolie, les jeunes filles les ont cueillies,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Qui peut dire où vont les filles du temps qui passe ?
Qui peut dire où sont les filles du temps passé ?
Quand va le temps des chansons, se sont données aux garçons,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les garçons du temps qui passe ?
Mais où sont tous les garçons du temps passé ?
Lorsque le tambour roula, se sont faits petits soldats,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour?
Mais où vont tous les soldats du temps qui passe ?
Mais où sont tous les soldats du temps passé ?
Sont tombés dans les combats, et couchés dessous leur proie,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour ?
Il est fait de tant de croix, le temps qui passe,
Il est fait de tant de croix, le temps passé,
Pauvres tombes de l'oubli, les fleurs les ont envahies,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous un jour ?
Qui peut dire où vont les fleurs du temps qui passe ?
Qui peut dire où sont les fleurs du temps passé ?
Sur les tombes du mois de mai, les filles en font des bouquets,
Quand saurons-nous un jour,
quand saurons-nous ... jamais ?
FRANCK AIMAR
Absolument magnifique. Emouvant de retrouver la voix de la grande Marlène dans cette version française.
Une icône a jamais gravée dans l inconscient collectif.
satyricon55
Elle est l'icone d'entre deux guerres.Sa voix est unique autant que son talent d'actrice.Cette chanson m'a donne de la chair de poule et le coeur serre.Merci d'avoir fait partager.
Gilbert Ikorong
@
satyricon55; je ne connaissais pas cette version de Marlene Dietrich; je connaissais seulement celles de Dalida et Greco. La version Marlene Dietrich est géniale
Jef Villon
Les larmes montent aux yeux quand on écoute cette chanson...La voix de Marléne est incomparable...
Lisa Lemmer-Benedix
Never been or will be sung more beautifully !! Soul touching. What a Lady ! What a Voice ! What a Spirit ! Long live Marlene Dietrich !! Lisa Benedix NB Canada
satyricon55
la voix de Marlene nous envoutera pour encore longtemps.Une vraie diva .Merci Victoria
Gilles FRAPPIN
L'une des plus belles et émouvantes chansons que l'on puisse entendre,c'est magnifique !
James McEwan
Amazing - I have never heard Marlene Dietrich sing this song, but it is now my favourite version!!!
Olivier Blochet
Normal it's the one 👌the better for ever ❤️
1anabase
Marlène, une grande dame, une artiste éblouissante, RIP