L'Homme Au Coeur Blesse
Georges Moustaki Lyrics


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Jour après jour, les jours s′en vont,
Laissant la vie à l'abandon.

Dans le jardin de l′homme au cœur blessé,
L'herbe est brûlée. Pas une fleur.
Sur l'arbre mort, plus rien ne peut pousser.
Rien que les fruits de sa douleur.
Les quatre murs de sa maison
N′abritent que l′absence
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons?
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons?

Parfois, des larmes viennent abreuver
L'herbe brûlée du souvenir
Mais quel soleil pourra-t-il réchauffer
Les jours enfuis ou à venir?

Les quatre murs de sa maison
N′abritent que l'absence
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons?
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons?





Jour après jour, les jours s′en vont,
Laissant la vie à l'abandon.

Overall Meaning

In this song, Georges Moustaki describes the life of a man with a wounded heart. He vividly depicts the barrenness and desolate condition of the man's heart and surroundings. The days pass, leaving behind a life that has been neglected and forgotten. The garden of the man with the wounded heart is barren with no flowers, and the only thing that grows on the dead tree in the garden is the fruit of his pain. The man's house is empty and only echoes with the memories of his companions who have left with their laughter and songs. The tears that occasionally quench the thirst of the burnt grass of the garden only remind the man of the past events, and the future seems bleak with no evident hope of change.


Moustaki's lyrics are heavily metaphorical, and every line is filled with deep meaning. The dead tree is a metaphor for the man's life, and the barren garden depicts his diabolical heart without any love, empathy, or compassion. The author then uses the four walls of the man's house as a metaphor for the man's empty heart, which is only a shadow of the life that he has lived before. The last line of the song, which repeats the first line, emphasizes how every day that passes just worsens the man's suffering, pain, and sadness, leaving the life abandoned.


Line by Line Meaning

Jour après jour, les jours s′en vont,
Day after day, the days go by,


Laissant la vie à l'abandon.
Leaving life abandoned.


Dans le jardin de l'hommme au cœur blessé,
In the garden of the man with a wounded heart,


L′herbe est brûlée. Pas une fleur.
The grass is burnt. Not a flower.


Sur l'arbre mort, plus rien ne peut pousser.
On the dead tree, nothing can grow anymore.


Rien que les fruits de sa douleur.
Only the fruits of his pain.


Les quatre murs de sa maison
The four walls of his house,


N′abritent que l'absence
Shelter only emptiness.


Où sont partis les compagnons
Where did his companions go


Avec leurs rires et leurs chansons?
With their laughter and their songs?


Parfois, des larmes viennent abreuver
Sometimes, tears come to water


L′herbe brûlée du souvenir
The burnt grass of memories.


Mais quel soleil pourra-t-il réchauffer
But what sun can warm up


Les jours enfuis ou à venir?
The days gone by or to come?


Jour après jour, les jours s′en vont,
Day after day, the days go by,


Laissant la vie à l'abandon.
Leaving life abandoned.




Writer(s): Mikis Theodorakis, Georges Moustaki, Emmanouil Eleftheriou

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Most interesting comments from YouTube:

Elise Rakoto

En souvenir de Ralisy et nos vacances à Imito <3
Jour après jour,
les jours s'en vont,
laissant la vie à l'abandon.

Dans le jardin de l'homme au cœur blessé
L'herbe est brûlée pas une fleur
Sur l'arbre mort plus rien ne peut pousser
Rien que les fruits de sa douleur sa douleur

Les quatre mûrs de sa maison
N'abritent que l'absence
Où sont partis les compagnons?

Avec leurs rires et leurs chansons.....

Parfois des larmes viennent t'abreuver
L'herbe brûlée du souvenir
Dès que le soleil pourra-t-il réchauffer
Les jours enfuis pourront venir



Nel Roelands

Day after day, the days just fly
And vanish forsaking one’s life.

All green is burnt and all blossom taken,
For the ones whose hearts are broken,
And no more but fruits of pain can ripen
On the dead tree in their garden.

Walls about them give just shelters
To voids left there by those dear
Partners as they went wherever
With their jolly songs and laughters.
Partners as they went wherever
With their jolly songs and laughters.

Sometimes, the tears just come pouring again,
For those ones whose chests are aching,
It can take more than sunshine to waken,
To thaw the days fled or coming.

Walls about them give just shelters
To voids left there by those dear
Partners as they went wherever
With their jolly songs and laughters.
Partners as they went wherever
With their jolly songs and laughters.

Day after day, the days just fly
And vanish forsaking one’s life.



Dolores Pianezzola

PAROLES
Jour après jour, les jours s'en vont,
Laissant la vie à l'abandon.

Dans le jardin de l'homme au cœur blessé,
L'herbe est brûlée. Pas une fleur.
Sur l'arbre mort, plus rien ne peut pousser.
Rien que les fruits de sa douleur.

Les quatre murs de sa maison
N'abritent que l'absence
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons ?
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons ?

Parfois, des larmes viennent abreuver

L'herbe brûlée du souvenir
Mais quel soleil pourra-t-il réchauffer
Les jours enfuis ou à venir ?

Les quatre murs de sa maison
N'abritent que l'absence
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons ?
Où sont partis les compagnons
Avec leurs rires et leurs chansons ?

Jour après jour, les jours s'en vont,
Laissant la vie à l'abandon.



All comments from YouTube:

LeCommedieDellArte

Quelle merveille, Ray !!! Merci avec tout mon coeur !! :) Thanks , blinddrunkal !! :)

Doune BONNET

Quel poète, je l'écoute toujours avec plaisir et une grande émotion. Ces textes raisonnent en moi toujours avec la même force. Merci Georges

damien COURSOL

je viens de découvrir cette merveilleuse chanson que je ne connaissais pas,elle est magnifique.merci M.MOUSTAKI

Lily-Anne Pelletier

Quelle douceur dans sa voix ,il me fait du bien ce grand poète ...

Jeannot Narcisse Razafitsalama

Là aussi, j'en ai les larmes aux yeux. Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers. Merci, Georges!

Jeannot Narcisse Razafitsalama

Cela un an que j'ai fait exprès de ne pas t'écouter. Mais je ne peux plus m'en empêcher; je t'écoute. Tant pis pour moi, j'aime tes paroles. A bientôt, Georges!

Claudine CL

Magnifique et la voix basse, d'accompagnement, également !! Je découvre cette merveille aujourd'hui !

Hamed Difallah

nunca morira este gran señor

mnjao

Rest in peace, dear and beautiful George!

Alan Moores

We missed him by a fraction in Greece! but we met up with a friend of his in a very quiet taverna, where he sang us lots of Moustaki songs.......and we got drunk...(OK ....I got drunk!)

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