Members
Jean-Noël Dasque – guitar
Sylvain Duthu – vocals
Florent Dasque – vocals, guitar
Laurent Garnier – bass
Jean-Baptiste Labe – trombone
Mélissa Doya – vocals, saxophone
Ernst Carree – drums
Jérémie Plante – piano
San Clemente
Boulevard des airs Lyrics
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J'voulais vous parler un peu d'elle
J'voulais écrire, sur un bout d'table
Dans un salon d'la rue des arts
Et déchirer ce bout de nappe
Sous le regard de bande appart
Et en finir, avec l'ambition,
Cracher, bourré, mes convictions
Et j'voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et j'voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Mais on r'fait pas les Amériques
En écrivant ce genre de choses
Fallait choisir, la chose publique
Y'a peu de public à la prose
Et entre nous, mon choix est fait
Et entre nous, mon choix est fait
Et j'annonce : Je ne choisirai
Entre la bannière et la rose
Et j'voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et j'voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Je voulais vous parler d'la misère
J'voulais vous parler d'la folie
D'un traitement sécuritaire
De pardon et de l'oubli
Esclave et aliéné
De la cause à la déraison
Attendant quelque chose
Qui s'produira pourtant jamais
Et j'voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et j'voulais vous parler des femmes
This song by French band Boulevard des airs, titled "San Clemente," tells a story about a man who wants to write a piece about a certain street in his town, the Rue des Arts. He imagines himself sitting at a table in a salon on this street, tearing a piece of napkin while drunk and expressing his convictions about women, art, and important historical events like the protests in 1968 and the Algerian War of Independence. The singer feels torn between choosing to write about what he wants -- art, women, and poetry -- and what he should write about -- politics, the public, and taking sides between left-wing and right-wing ideologies. Civil unrest, injustice, and the human condition in relation to politics and history are also themes present in the song.
The repetition of the line "Et j'voulais vous parler des femmes, Et des bouts d'art, de leur parfum, De 68, que l'on condamne, Du mois d'octobre 61" (And I wanted to talk to you about women, And about art, their fragrance, About 68, which is condemned, About October '61) throughout the song seems to serve as a reminder of the things he wanted to write about but couldn't. The singer is stuck between his passion for art and women and his responsibility to write about society and politics. The song ends on a somewhat pessimistic note with the singer admitting to waiting for something that will never happen.
Overall, "San Clemente" is a poignant commentary on the everyman's struggles to negotiate between his individual wants and the larger societal expectations placed on him. It is a reflective and introspective song that pulls at the heartstrings of anyone who has ever felt torn between their passion and the demands of the world around them.
Line by Line Meaning
J'voulais placer le mot « ruelle »
I wanted to use the word 'lane'
J'voulais vous parler un peu d'elle
I wanted to talk to you a little about it
J'voulais écrire, sur un bout d'table
I wanted to write, on a table top
Dans un salon d'la rue des arts
In a salon on Arts Street
Et déchirer ce bout de nappe
And tear this piece of cloth
Sous le regard de bande appart
Under the gaze of an outsider group
Et en finir, avec l'ambition,
And be done with ambition
Cracher, bourré, mes convictions
Drunk, spit out my convictions
Mais on r'fait pas les Amériques
But we can't repeat the Americas
En écrivant ce genre de choses
By writing that kind of stuff
Fallait choisir, la chose publique
Had to choose the public option
Y'a peu de public à la prose
There are few readers for prose
Et entre nous, mon choix est fait
And between us, my choice is made
Et j'annonce : Je ne choisirai
And I announce: I won't choose
Entre la bannière et la rose
Between the banner and the rose
Je voulais vous parler d'la misère
I wanted to talk to you about poverty
J'voulais vous parler d'la folie
I wanted to talk to you about madness
D'un traitement sécuritaire
Of a safe treatment
De pardon et de l'oubli
Of forgiveness and forgetting
Esclave et aliéné
Slave and alienated
De la cause à la déraison
From cause to madness
Attendant quelque chose
Waiting for something
Qui s'produira pourtant jamais
That will never happen
Et j'voulais vous parler des femmes
I wanted to talk to you about women
Et des bouts d'art, de leur parfum
And about art pieces, their perfume
De 68, que l'on condamne
About 68, which is condemned
Du mois d'octobre 61
About the month of October 61
Lyrics © MADEU EDITEUR, Sony/ATV Music Publishing LLC, SONY ATV MUSIC PUBLISHING FRANCE
Written by: FLORENT DASQUE, JEAN NOEL DASQUE, SYLVAIN DUTHU
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
MrToutLeMondedu28
J’voulais placer le mot « ruelle »
J’voulais vous parler un peu d’elle
J’voulais écrire, sur un bout d’table
Dans un salon d’la rue des arts
Et déchirer ce bout de nappe
Sous le regard de bande à part
Et en finir, avec l’ambition,
Cracher, bourré, mes convictions
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d’art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d’art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Mais on n'fait pas les Amériques
En écrivant ce genre de choses
Fallait choisir, la chose publique
Y’a peu de public à la prose
Et entre nous, mon choix est fait
Et entre nous, mon choix est fait
Et jamais je ne choisirai
Entre la bannière et la rose
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d’art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d’art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Je voulais vous parler d’la misère
J’voulais vous parler d’la folie
D’un traitement sécuritaire
De pardon et de l’oubli
Esclave et aliéné
De la cause à la déraison
Attendant quelque chose
Qui s’produira pourtant jamais
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d’art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Le Con
les paroles
Je voulais placer le mot "ruelle"
Je voulais vous parler un peu d'elle
Je voulais écrire, sur un bout du table
Dans un salon de la rue des arts
Et déchirer ce bout de nappe
Sous le regard de bande appart
Et en finir, avec l'ambition
Cracher, bourré, mes convictions
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Mais on refait pas les Amériques
En écrivant ce genre de choses
Fallait choisir, la chose publique
Y a peu de public à la prose
Et entre nous, mon choix est fait
Et entre nous, mon choix est fait
Et j'annonce: Je ne choisirai
Entre la bannière et la rose
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Je voulais vous parler de la misère
Je voulais vous parler de la folie
D'un traitement sécuritaire
De pardon et de l'oubli
Esclave et aliéné
De la cause à la déraison
Attendant quelque chose
Qui se produira pourtant jamais
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et je voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l'on condamne
Du mois d'octobre 61
Et je voulais vous parler des femmes
Reina Molina
Música fresca, voces bien acopladas, qué gusto disfrutar de tan excelente producción.
Felicitaciones!
Florian Lebreton
Un groupe excellent...À réécouter sans cesse albums après albums
Neptunia BZH
Merci pour tout le bonheur que vous nous transmettez à travers vos musiques, un vrai plaisir à écouter !
Thibault Ruchon
Vous êtes pour pour moi des nouveaux poètes. La justesse des mots se marie avec l'expression de l'instrumentale et les vers s'envole porté par vos notes!
Boulevard des Airs BDA
:) Rdv en concert maintenant ! Toutes les news sont postées sur nos réseaux sociaux
Allan Colot
Franchement des musique géniale ! A voir en concert sans aucun doute ;)
Gatz_Arouff
J'adore vos chansons ☺ continuer comme sa franchement vous reinventez le genre français 👌
Jojo DJ
La chanson dont je ne me lasse pas d'écouter 👌
Incroyable Boulevard des Airs ❤
Justine Contant
J'aime énormément ce que vous faites.
Vos concerts sont dingues.
Merci et surtout continuez!
sorbet pêche
Ce serait tellement bien qu'on vous entendent plus !!!! j'adore l'album et toutes les chansons !!!! je vous écoutes tout le temps je suis fan j'adore !!! Trop dégoûté de ne pas être aller a un concert :'( <3