After their first 1999 se… Read Full Bio ↴Debout Sur Le Zinc is a French music band.
After their first 1999 self-titled album, their subsequent album L’homme à tue-tête released in May, 2001 gained them media acclaim and public popularity. By the time their 2004 album Des singes et les moutons enhanced their repertoire, they were selling out venues such as La Cigale and touring internationally. Songs from their latest album Les Promesses were featured in their first concert at the oldest music hall in Paris, the Olympia, where they played to a full house on May 16, 2006.
The band acknowledges influences from traditional French and Irish music, rock, klezmer, and many styles that are considered dance hall music, such as gypsy jazz, tango, waltz. Music critics and fans admire their ability to mix these different styles into an exuberant, cohesive whole.
They are known to be friends with bands like La Rue Kétanou or Les Ogres de Barback.
La valse misère
Debout sur le zinc Lyrics
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Comme un fétu de paille dans l'infini,
Et puis l'on est tenté de tout laisser tomber
Et de ne plus lever les yeux de sur ses pieds...
Et puis si par hasard on a la chance,
De trouver de tenir l'Amour immense
Alors on a tendance à oublier l'ami
Je voudrais faire voeu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares...
On est toujours trop en retard
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Alors reprend le train-train quotidien
Celui qui vous enveloppe si bien
Celui qui peint vos rêves, celui qui fait la trêve
Avec la conscience d'Eve et du serpent
La banque, la maison, la femme, les enfants
Bientôt effaceront tous les relents
Relents d'élan de coeur confondant dans un même
Caramel écoeurant le diable et le bonheur...
Je voudrais faire voeu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares...
On est toujours trop en retard
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Evidement on n'y changerait rien
En chantant ou en frappant des deux poings
Sur la table de sa salle à manger rococo
On risquerait de renverser les verres et l'eau
Pourtant si l'on y réfléchissait bien,
Le bonheur que l'on retient des deux mains
Pourrait-il vraiment fuir en tendant comme une fleur
Une main au bout d'un bras, vers sa main vers son bras
Je voudrais faire voeu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares...
On est toujours trop en retard
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
In La valse misère, Debout sur le Zinc explores the concept of the fleeting nature of life and the temptation to give up and stop trying. The lyrics compare life to a mere straw floating in the infinite, where one can be carried away by the currents of existence. However, the singer highlights that if one is lucky enough to experience immense love, they tend to forget about those around them who may be forgotten or alone. The narrative of the song is characterized by a sense of yearning and frustration at one’s inability to eradicate misery completely, despite a strong desire to change things for the better.
The chorus expresses a desire to waltz away one's troubles and to dance misery to the farthest bounds of the universe and beyond the limits of the sky, only to return to earth too soon. The mundanity of everyday life, encapsulated by family, work, and mundane routines, effortlessly maintains a desirable illusion of peace with the devil and happiness in life. Even though one may make a vow to never look away from the plight of others, the irresistible pull of everyday life always puts one behind schedule in the journey of life.
La valse misère is a reflection on our place in the universe and on how we should interact with the people around us. It's about not just remembering our loved ones but also about the forgotten people who sleep alone in the cold, the people that nobody loves. Ultimately, the song is one of hope in the face of despair and the realization that even though we may not be able to fix everything, we can still strive to make a difference.
Line by Line Meaning
Bien sûr on est emporté par la vie
Comme un fétu de paille dans l'infini,
Of course, we are carried away by life like a blade of straw in infinite expanse.
Et puis l'on est tenté de tout laisser tomber
Et de ne plus lever les yeux de sur ses pieds...
Then we are tempted to drop everything and not to look beyond our feet.
Et puis si par hasard on a la chance,
De trouver de tenir l'Amour immense
Alors on a tendance à oublier l'ami
L'autre qui dort tout seul, dans le froid et l'oubli
And if we happen to have the chance to find and hold onto immense love, then we tend to forget the friend who is sleeping alone, in the cold and oblivion.
Je voudrais faire voeu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares...
On est toujours trop en retard
I would like to vow to never turn a blind eye, but I know that in train stations, we are always too late.
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
I would love to waltz away misery to the ends of the universe, to the limits of the sky, but I come back to earth too soon.
Alors reprend le train-train quotidien
Celui qui vous enveloppe si bien
Celui qui peint vos rêves, celui qui fait la trêve
Avec la conscience d'Eve et du serpent
So we resume the daily grind, the one that envelops us so well, the one that paints our dreams, the one that makes peace with the consciousness of Eve and the serpent.
La banque, la maison, la femme, les enfants
Bientôt effaceront tous les relents
Relents d'élan de coeur confondant dans un même
Caramel écoeurant le diable et le bonheur...
The bank, the house, the wife, the children, will soon erase all the remnants, remnants of heart-felt desires that confuse in the same, sickly-sweet caramel, the devil and happiness.
Evidement on n'y changerait rien
En chantant ou en frappant des deux poings
Sur la table de sa salle à manger rococo
On risquerait de renverser les verres et l'eau
Certainly, nothing would change by singing or by striking both fists on the table of one's rococo dining room; it would only risk knocking over the glasses and water.
Pourtant si l'on y réfléchissait bien,
Le bonheur que l'on retient des deux mains
Pourrait-il vraiment fuir en tendant comme une fleur
Une main au bout d'un bras, vers sa main vers son bras
Yet, if we were to think about it, would the happiness that we hold tight really vanish, when one arm is extended like a flower, toward another's hand and arm?
Je voudrais faire voeu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares...
On est toujours trop en retard
I would like to vow to never turn a blind eye, but I know that in train stations, we are always too late.
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
I would love to waltz away misery to the ends of the universe, to the limits of the sky, but I come back to earth too soon.
Contributed by Kayla T. Suggest a correction in the comments below.
Abraham Rojas
Bien sur on est emporté par la vie
Comment fêtu de paille dans l'infini ?
Et puis on est tenté de tout laisser tomber
Et de ne plus lever, les yeux sur ses pieds
Et puis si par hasard on a la chance
De trouver de tenir l'amour, l'immense
Alors on a tendance à oublier l'ami
L'autre qui dort tout seul, dans le froid et l'oubli
Je voudrai faire vœux
De ne jamais détourner le regard
Mais je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J'aimerai bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'au confind du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Alors reprend le train-train quotidien
Celui qui vous enveloppe si bien
Celui qui par vos rêves, celui qui fait la trêve
Avec la conscience d' Eve…..et du serpent
La banque, la maison, la femme, les enfants
Bientôt éffaceront tous les relans
Relans d'élan de cœur, confondant dans un même
Caramel éceurant, le diable et le bonheur
Je voudrai faire vœux
De ne jamais détourner le regard
Mais je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J'aimerai bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'au confind du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Evidemment on ne changera rien
En chantant ou en frappant des deux poings
Sur la table de la salle à manger eh rococo
On risquerai de renverser les verres, et l'eau
Pourtant si l'on y réfléchissait bien
Le bonheur que l'on retient dès demain
Pourrait il vraiment fuir, en tendant comme une fleur
Une main, au bout d'un bras, ou bien sa main vers son bras
Je voudrai faire vœux
De ne jamais détourner le regard
Mais je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J'aimerai bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'univers
Jusqu'au confind du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Jean Delafontaine
Du pur génie
Juline Carbone-Vairon
Comment faites-vous pour écrire des chansons aussi belles ? Quel est votre secret ?