Excuse-moi partenaire
Eddy Mitchell (born Claude Moine July 3, 1942, Paris) is a French singer an… Read Full Bio ↴Eddy Mitchell (born Claude Moine July 3, 1942, Paris) is a French singer and actor. He began his career in the late 1950s, with the group Les Chaussettes Noires (The Black Socks), taking his name from the American expatriate tough-guy actor Eddie Constantine (later the star of Jean-Luc Godard's Alphaville). The band performed at the Parisian nightclub Le Golf Drouot before signing to Barclay Records and finding almost instant success; in 1961 it sold two million records.

Heavily influenced by American rock & roll, Mitchell (who went solo in 1963) has often recorded outside France, at first in London, but later in Memphis and Nashville, Tennessee. Guitarist Jimmy Page and drummer Bob Graham were among the British session musicians who regularly supported him in London.

Excuse-moi partenaire
Eddy Mitchell Lyrics


Excuse-moi partenaire
De venir à toi
Mais c'est avec ma môme
Que tu danses là

Excuse-moi partenaire
De paraître froid
Mais tu sais
On s'est disputé, tous les deux, oh-oh
Et de la revoir
Renaît l'espoir
Ses pleurs
Ses pleurs ont suivi
Ont suivi, oui
Excuse-moi partenaire
De t'interrompre ainsi
Ainsi, oui

Excuse-moi partenaire
De parler comme ça
Mais ces quelques pleurs
Me sont chers
Mais tu peux dire en regardant ses yeux
Qu'elle ne pensait pas
À tout ça

Et de la revoir
Renaît l'espoir
Cette fille
Cette fille entre mes bras
Entre mes bras m'offre la joie
Excuse-moi partenaire
De t'interrompre ainsi

Mais oui, mais oui
Ailleurs il te faudra chercher
Il te faudra chercher quelqu'un d'autre pour danser
Car cette jolie fille-là
Elle danse avec moi
Mais oui, excuse-moi partenaire
De t'interrompre ainsi

Mais oui
Ailleurs il te faudra chercher
Quelqu'un d'autre pour danser, oui
Car cette jolie fille-là
Elle danse avec moi
Mais oui, mais oui, mais oui (mais oui, mais oui)
Excuse-moi partenaire, mais
Oui, de t'interrompre ainsi

C'est marrant, les Bunnies, qui, mais
Elles ont changé, les Bunnies, hein qui nous apportent les tabourets
Tu ne penses qu'au filles, toi
Mais non, mais non, mais non, mais on m'avait dit qu'il y aurait des Bunnies
Mais y a pas de Bunnies, et puis voilà
En attendant, écoute, tu pourrais faire une chose pour moi? (Ouais)
Arrête, et ne joue plus de rock and roll (ah bon, d'accord)


Lyrics © O/B/O APRA AMCOS



Written by: John Watson, Ralph Bernet

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Christophe GIBBE

Le spectacle de sa vie, les concerts d'une carrière (première partie)

Depuis ses débuts, la carrière de Johnny, franchi régulièrement de « nouveaux paliers », qui ont permis à l’artiste de « changer plusieurs fois de dimension ». C’est ce phénomène qui va à nouveau se produire, à l’issu des trois concerts, au Parc des Princes, en juin 1993. Flashback, en 1960, quand sa carrière commence, Johnny se produit dans de toutes petites salles, de quelques centaines de places. Très vite, en 1961, à 18 ans seulement, son nom figure en lettres capitales au fronton d’un « temple » du music-hall français : l’Olympia. Cette salle d’environ 2 000 places, devenant assez rapidement trop petite pour le jeune artiste, il investit en 1967 le Palais des Sports qui peut approximativement accueillir 8 000 spectateurs. C’est en 1987, quand il franchit pour la première fois, les portes du Palais Omnisports de Paris Bercy, qui peut alors réunir 12 000 personnes, que sa carrière franchit une nouvelle étape. Après trois séries de concerts dans cette salle, à la fin des années 80 et au début des années 90, Johnny choisit le Parc des Princes pour célébrer ses 50 ans. C’est la première fois de sa carrière, qu’il donne un spectacle dans un stade de l’hexagone. Cette aire, qui peut accueillir plus de 50 000 personnes, est la plus grande et la plus vaste, dans laquelle le chanteur ne s’est jamais produit.

C’est un peu avant, le début de ses représentations, à Bercy en 1992, que nait l’idée, de fêter son cinquantième anniversaire l’année suivante, dans l’enceinte, qui accueil habituellement les plus grands matchs de football et de rugby, disputés dans notre pays. Le défi relevé par Johnny et son équipe, est énorme. Vont-ils le réussir ? Aujourd’hui, nous connaissons tous la réponse. Mais, au moment de se lancer dans cette périlleuse aventure, quelques doutes subsistent : le projet n’est-il pas trop ambitieux? Est-il vraiment, réaliste et réalisable ? Le public répondra-t-il présent ?

Pour certains spectateurs, l’aventure commence à Bercy en 1992, quand ils découvrent, sur leurs sièges, un flyer sur lequel est indiquée la mention suivante : « 18 JUIN 1993, RETIENS TA NUIT, JOHNNY AU PARC DES PRINCES, MEGA CONCERT ECEPTIONNEL… » Devant l’extraordinaire engouement suscité par cette annonce et la rapidité sidérante, avec laquelle se rempli le stade, une puis deux nouvelles dates (19 et 20 juin), sont très vite ajoutées, afin qu’un maximum de fans, puisse assister à l’évènement musical, de l’année en France.

En attendant le jour J et l’heure H, le début de l’année 93, est émaillé de moments forts. En janvier, le double CD Bercy 92, sort dans les bacs. Le 8 février le rocker reçoit une Victoire de la Musique, pour honorer cette série de représentations. Le 3 juin, son attaché de presse et ami, Gil Paquet, publie un livre-hommage accompagné d’un CD, intitulé : « Johnny, le livre ». Dans le cadre, de l’émission de télévision, « Sacrée soirée », présentée sur TF1, par Jean-Pierre Foucault, l’idole interprète pour la première fois le 9 juin, la chanson « Je serai là », qu’il a créé spécialement pour ses futures représentations au Parc des Princes. Lors de cette émission, il a auparavant proposé, une répétition grandeur nature de cinq grands hits, qu’il va interpréter, lors de cet anniversaire si particulier. Deux jours plus tard, Canal+ « retient sa nuit » avant tout le monde, et la dédie à l’artiste. Pendant 6 heures 30, la chaine cryptée propose ce que la télévision peut faire de mieux, avec des archives oubliées à l’époque : un concert donné à Amsterdam en 1963 ; l’émission Bouton Rouge de 1968 ; et J’ai tout donné, le documentaire réalisé en 1972, par François Reichenbach. Le 15 juin, jour du cinquantième anniversaire du chanteur, Phonogram commercialise une « Johnny Hallyday Collection », qui est une intégrale CD en 40 volumes, insérée dans un étui pour guitare. Elle est éditée à 7 500 exemplaires, que l’on peut acquérir par souscription. Cet objet emblématique de la carrière de Johnny Hallyday, communément appelé « l’intégrale guitare », (dont le premier exemplaire, lui a été remis en main propre, par les responsables de sa maison de disques), nous le devons essentiellement au travail méticuleux et rigoureux d’un homme de l’ombre, sur lequel j’ai envie de mettre un peu de lumière : Jean-Yves Billet. Pendant de nombreuses années, Jean-Yves a travaillé aux côtés de l’artiste, qui lui avait donné sa confiance et qui comptait beaucoup sur lui. Les fans que nous sommes tous, lui devons énormément, même si l’immense majorité d’entre nous l’ignore. Je vous remercie Jean-Yves pour tout le travail que vous avez fait, pour mettre en valeur la carrière de notre rocker national. Je referme ici, cette indispensable parenthèse. Pour clore le spectacle, si je peux m’exprimer ainsi, l’exposition médiatique avant le « grand évènement », est plus importante que jamais. Tout au long de la semaine, qui le précède, la presse : écrite, radiophonique, audiovisuelle, ne parle que de ça. Internet et les réseaux sociaux n’existent pas encore.

Pour ces concerts exceptionnels, il faut concevoir un décor, à la hauteur de l’évènement. En ce 21 janvier 1993, quand l’idole, se rend dans les coulisses de Bercy, pour examiner, les différentes maquettes des décors qu’on lui propose, la fabrication du show commence réellement. De nombreux architectes sont présents autour de l’artiste, pour lui présenter et défendre leurs projets. Johnny est attentif, il regarde les propositions, écoute les explications, fait des remarques, ou pose des questions. Finalement, c’est l’architecte lillois Luc Delemazure, (qui avait initialement, proposé une tour), qui sera l’heureux élu, grâce au pont de San Francisco, le : Golden Gate.

Un gros trimestre plus tard, Johnny effectue un aller/retour sur une base militaire en Alsace, où le pont, étale ses mensurations impressionnantes au milieu des prairies et des routes secondaires. Pendant que le chanteur, débute les répétitions de son spectacle au studio Long Courrier situé à Aubervilliers, près de Paris, le Golden Gate est démonté et ses éléments sont répartis dans des camions poids-lourds, qui vont l’acheminer au Parc des Princes. Le convoi, qui s’étend sur 1 km de long et qui se compose de dix-huit « 38 tonnes », s’élance à 4 heures du matin, de Wasselonne, dans le Bas-Rhin. Il ne passe pas inaperçu, quand il arrive, dans les rues huppées, du seizième arrondissement de la capitale.

Dans la soirée du 14 juin, c’est sous une pluie battante, que Johnny découvre in situ, l’immense monument qui va magnifier le spectacle de sa vie, les concerts d’une carrière : 65 tonnes, 33 m de haut, 105 m de long, telles sont les mensurations démesurées de la reproduction du Golden Gate. Le tout a été intégré à l’ensemble de la machinerie, des pistes, des pentes, des ascenseurs, et les espaces qui vont accueillir chanteur, musiciens, danseurs, cascadeurs, motos, voitures et techniciens. En outre, ajoutons qu’une scène d’une superficie de 2000 mètres carré, pesant 60 tonnes, a été installée. Elle est surmontée par un écran de 26 mètres carré, formé de 48 moniteurs géants. Par ailleurs, on a ressuscité le poing du Zénith 84, qui s’est fait refaire une beauté en Eure-et-Loir et qui vient s’encastrer dans les entrelacs métalliques. Le « patron » de la musique en France, peut enfin répéter son spectacle dans l’enceinte, dans laquelle dans quelques jours, il va définitivement, entrée dans l’Histoire de la musique mondiale et marquer pour toujours, les mémoires et les cœurs de ses fans.



All comments from YouTube:

Claude Gosnet

❤❤❤merci beaucoup cela me toujours un immense plaisir de le revoir et de l'entendre chanter grâce à vous bon dimanche bisous ❤❤❤😊😊😊

Nicoletta

Très belle cette chanson de Johnny Hallyday que je connais pas ooh c'est tellement merveilleux la voix j'adoreee merci pour ce beau partage 🎶🎶👌👍👍🎸 🎸🙏🙏

Mastos Le vrai

Tu nous manque Johnny 😢

Johnny MEILHEURAT

Il est dans nos cœurs ❤

Lionel Caillet

Johnny et Eddy 2 Bêtes de scènes du Rock'n'roll comme il n' en existe plus de nos jours, toute une époque formidable ❤❤

Hoff Michel

Quel beau souvenir un concert inoubliable que j'ai eu plaisir à revoir cette année au cinéma d'ailleurs ce serait super si d'autres spectacles seraient diffusés sur grand écran et bon choix en ce dimanche ce super duo Johnny Eddy meilleurs amis depuis leur 15 ans très belle amitié bravo Monsieur Eddy encore aujourd'hui Johnny lui manque bon dimanche à tous les fans 🤘🎸😉

Pierre Conte

Une belle "brochette" de superbes Artistes....
Grand bravo pour ce beau souvenirs avec des beaux sons...
Amitiés musicales

Patricia Moutoussamy

Mon Johnny 💙tu es pour moi toujours là excuses moi de te le dire partenaire 💙💙🎸💙🎸💙

Frederick Ponsot

Un titre de légende excuse moi partenaire 😎👍

Enomis Martin

J'aime les voir tous les deux 👍 bravo Johnny et Eddy je les aimes 👍👍💓💓💓💓💋💋💋💋

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